L’objectif de ce nouveau programme lancé lundi dernier par le ministre Alioune Sarr, est, selon Mabousso Thiam, de faciliter l’accès des PME au financement bancaire. Après Saint-Louis et Mekhé, c’était donc au tour des entrepreneurs du département de Mbour d’être sensibilisés pour leur faire comprendre l’intérêt de la labellisation.
Selon M. Thiam, l’accent est mis dans le département de Mbour, compte tenu de son potentiel sur le plan de la pêche, de l’agriculture, du tourisme et des services. « On a déjà labellisé 62 entreprises et on veut arriver à labelliser 300 entreprises d’ici fin 2016 », a-t-il fait savoir. De l’avis du directeur de l’Adpme, le département de Mbour doit avoir le maximum d’entreprises labellisées.
« Il y a des étapes dans la vie des entreprises. Elles commencent sous forme informelle, mais une société informelle est très limitée en termes d’accès aux financements », a noté M. Thiam. « Il s’agit, par la labellisation, de s’inscrire dans un processus de modernisation de l’économie. C’est ça la transformation structurelle de l’économie dans le cadre Plan Sénégal émergent (Pse). Il faut faire en sorte que les entreprises arrivent à respecter des normes et des chartes sinon elles n’arriveront pas à s’en sortir », a expliqué le directeur de l’Adpme. M. Thiam a annoncé l’organisation prochaine d’une journée portes ouvertes sur la formalisation pour accompagner les Pme qui existent et les aider à être formelles ; ce qui, à son avis, rendrait plus facile la labellisation et leur permettrait d’accéder au crédit bancaire.
A. DIEYE
Selon M. Thiam, l’accent est mis dans le département de Mbour, compte tenu de son potentiel sur le plan de la pêche, de l’agriculture, du tourisme et des services. « On a déjà labellisé 62 entreprises et on veut arriver à labelliser 300 entreprises d’ici fin 2016 », a-t-il fait savoir. De l’avis du directeur de l’Adpme, le département de Mbour doit avoir le maximum d’entreprises labellisées.
« Il y a des étapes dans la vie des entreprises. Elles commencent sous forme informelle, mais une société informelle est très limitée en termes d’accès aux financements », a noté M. Thiam. « Il s’agit, par la labellisation, de s’inscrire dans un processus de modernisation de l’économie. C’est ça la transformation structurelle de l’économie dans le cadre Plan Sénégal émergent (Pse). Il faut faire en sorte que les entreprises arrivent à respecter des normes et des chartes sinon elles n’arriveront pas à s’en sortir », a expliqué le directeur de l’Adpme. M. Thiam a annoncé l’organisation prochaine d’une journée portes ouvertes sur la formalisation pour accompagner les Pme qui existent et les aider à être formelles ; ce qui, à son avis, rendrait plus facile la labellisation et leur permettrait d’accéder au crédit bancaire.
A. DIEYE