
Nafi Ngom Keita, présidente de l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (OFNAC)
Elle s’exprimait en marge d’un séminaire de formation du 13ème Programme mondial d’Interpol sur la lutte contre la corruption, la criminalité financière et le recouvrement d’avoirs en Afrique de l’Ouest. Le Bénin, le Burkina Faso, le Cameroun, la Côte d’Ivoire, la Guinée, le Niger, le Nigeria et le Togo participent aux travaux de ce 13ème programme d’Interpol.
L’atelier a pour objectif selon elle, de partager du savoir-faire et des meilleures pratiques entre pays africains, entre acteurs de la lutte contre la corruption, la fraude et les infractions connexes en vue de meilleure performance de nos activités mais également de revisiter l’approche doctrinale stratégique et opérationnelle pour une meilleure efficacité.
Selon, UDE STANLEY directeur anticorruption d’Interpol en France , ce séminaire de formation est le troisième du genre organisé par Interpol pour les pays ayant des structures anti-corruption dans le but d’échanger et d’avoir de bonnes pratiques pour lutter contre la corruption en Afrique et dans le monde.
Mme Keita est d’avis que tant que cette dialectique n’est pas appréhendée par les acteurs, la lutte ne sera pas efficace. Selon elle, Il faut bien saisir cette interaction, la comprendre, bâtir les stratégies de lutte et de prévention en tenant compte de ce lien étroit de la corruption et du crime organisé.
Elle ajoute que la lutte doit être globale car la corruption est un phénomène complexe et difficile à combattre .Les criminels, les corrompus utilisent des méthodes très compliquées de sorte qu’il est difficile de rassembler des éléments de preuves.
La présidente de l’OFNAC, invite les acteurs à se former, à se remettre en question et à apprendre les meilleures pratiques et les meilleurs techniques de lutte pour constituer des preuves suffisantes et adéquates.
Ndeye Maguette Kebe
L’atelier a pour objectif selon elle, de partager du savoir-faire et des meilleures pratiques entre pays africains, entre acteurs de la lutte contre la corruption, la fraude et les infractions connexes en vue de meilleure performance de nos activités mais également de revisiter l’approche doctrinale stratégique et opérationnelle pour une meilleure efficacité.
Selon, UDE STANLEY directeur anticorruption d’Interpol en France , ce séminaire de formation est le troisième du genre organisé par Interpol pour les pays ayant des structures anti-corruption dans le but d’échanger et d’avoir de bonnes pratiques pour lutter contre la corruption en Afrique et dans le monde.
Mme Keita est d’avis que tant que cette dialectique n’est pas appréhendée par les acteurs, la lutte ne sera pas efficace. Selon elle, Il faut bien saisir cette interaction, la comprendre, bâtir les stratégies de lutte et de prévention en tenant compte de ce lien étroit de la corruption et du crime organisé.
Elle ajoute que la lutte doit être globale car la corruption est un phénomène complexe et difficile à combattre .Les criminels, les corrompus utilisent des méthodes très compliquées de sorte qu’il est difficile de rassembler des éléments de preuves.
La présidente de l’OFNAC, invite les acteurs à se former, à se remettre en question et à apprendre les meilleures pratiques et les meilleurs techniques de lutte pour constituer des preuves suffisantes et adéquates.
Ndeye Maguette Kebe