«Le mépris des droits de l'homme est une maladie, une maladie qui se propage partout (…). Une maladie que le Conseil des droits de l'homme doit contribuer à éradiquer» a déclaré le Secrétaire général de l'ONU, António Guterres lors de l'ouverture de la 34ème session du Conseil des droits de l'homme. Il ajoute: « Nous ne cessons de constater de nouvelles violations des droits de l'homme, qui sont non seulement les signes avant-coureurs mais aussi l'un des principaux indicateurs des crises ».
Selon la même source, le Secrétaire général s'est dit particulièrement inquiet concernant la progression du « phénomène pervers du populisme et l'extrémisme, qui se nourrissent l'un l'autre sur fond de déferlante raciste, xénophobe, antisémite et islamophobe, entre autres formes d'intolérance ».
Le SG de l’ONU a notamment exhorté les Etats membres à faire tout leur possible pour rétablir le régime international de protection des réfugiés dans son intégrité. «Les droits des réfugiés et des migrants sont gravement mis en cause. La traite des êtres humains gagne de l'importance», a-t-il déploré soulignant que face à la multitude de personnes qui fuient la guerre, la communauté internationale ne doit pas se soustraire à ses responsabilités.
Pour le chef de l'ONU, la paix, le développement et les droits de l'homme sont trois piliers indissociables qui se renforcent mutuellement.
Fatou Blondin CISSE
Selon la même source, le Secrétaire général s'est dit particulièrement inquiet concernant la progression du « phénomène pervers du populisme et l'extrémisme, qui se nourrissent l'un l'autre sur fond de déferlante raciste, xénophobe, antisémite et islamophobe, entre autres formes d'intolérance ».
Le SG de l’ONU a notamment exhorté les Etats membres à faire tout leur possible pour rétablir le régime international de protection des réfugiés dans son intégrité. «Les droits des réfugiés et des migrants sont gravement mis en cause. La traite des êtres humains gagne de l'importance», a-t-il déploré soulignant que face à la multitude de personnes qui fuient la guerre, la communauté internationale ne doit pas se soustraire à ses responsabilités.
Pour le chef de l'ONU, la paix, le développement et les droits de l'homme sont trois piliers indissociables qui se renforcent mutuellement.
Fatou Blondin CISSE