L’information est contenue dans un communiqué parvenu à la rédaction du Journal de l’Economie Sénégalaise (Lejecos.com).
Le document souligne que cet évènement inscrit dans l’agenda des rencontres internationales abritées par le Sénégal, verra la participation de plus de 170 participants de 14 pays.
La même source confie que cette rencontre sera une occasion de capitaliser toutes les expériences de l’UNCDF dans les services digitaux.
Elle rappelle que l’UNCDF joue, depuis de nombreuses années, un rôle de pionnier dans le développement des services financiers numériques, au service de l’inclusion financière.
A cet effet, le communiqué met le curseur sur comment l'Agence onusienne a facilité le paiement du personnel médical au cours de la crise Ebola grâce aux services financiers digitaux.
A cela, le document y ajoute le rôle joué par l’UNCDF en accompagnant le lancement du crédit digital par un opérateur téléphonique en Ouganda en 2017, qui a attiré plus de trois millions d’utilisateurs dès les premiers mois.
L’occasion sera également donnée de revisiter le parcours digital d’une institution de microfinance au Sénégal, qui a numérisé la collecte de l’épargne de 90 000 femmes.
Selon la même source, la première journée de cette rencontre sera dédiée à l’état des services financiers numériques en Afrique de l’Ouest, et au rôle de l’innovation dans l’avenir de la finance digitale, avec des intervenants de Chine, du Bénin, du Sénégal, de l’Ouganda, de Zambie et de Fiji dans le Pacifique.
Et d’ajouter que la deuxième journée sera consacrée à des exercices sur le terrain. Les participants testeront, auprès d'utilisateurs à Thiès, comment les solutions digitales peuvent améliorer la communication avec les clients, changer la façon d’attribuer des crédits ou permettre un meilleur suivi de la distribution des services financiers.
Au cours de la dernière journée, note-le communiqué, les participants pourront partager des leçons apprises dans des secteurs comme l’agriculture et participer à une séance de networking.
A l’en croire, plus de 170 participants, impliqués dans des projets de finance digitale mis en œuvre en Asie, dans le Pacifique et en Afrique subsaharienne prendront part à l’évènement : des acteurs du secteur privé tels que les opérateurs de téléphonie mobile (Airtel, MTN, Orange , Vodafone Fidji , etc.), les fournisseurs de services financiers (Equity, Stanbic, CAURIE, etc.), des compagnies d'assurance (comme Fidji Care ) et d'autres fournisseurs de services non bancaires tels que Kazang, PEAS , Sun Farmers, Zoona et Tootle.
Pour rappel,l’UNCDF est l’Agence d’investissement des Nations Unies pour les 47 pays les moins avancés (PMA) du monde. Dans le cadre de son mandat de fourniture de capitaux et d’instruments d’investissement, l’UNCDF offre des modèles de financement du « dernier maillon », permettant de débloquer des ressources publiques et privées, notamment au niveau national, afin de réduire la pauvreté et d’encourager le développement économique local. Ce « dernier maillon » représente les lieux où les ressources affectées au développement sont les plus limitées, où les inégalités du marché sont les plus prononcées et où les profits de la croissance nationale tendent à ne pas être inclusifs.
Mariama Diallo
Le document souligne que cet évènement inscrit dans l’agenda des rencontres internationales abritées par le Sénégal, verra la participation de plus de 170 participants de 14 pays.
La même source confie que cette rencontre sera une occasion de capitaliser toutes les expériences de l’UNCDF dans les services digitaux.
Elle rappelle que l’UNCDF joue, depuis de nombreuses années, un rôle de pionnier dans le développement des services financiers numériques, au service de l’inclusion financière.
A cet effet, le communiqué met le curseur sur comment l'Agence onusienne a facilité le paiement du personnel médical au cours de la crise Ebola grâce aux services financiers digitaux.
A cela, le document y ajoute le rôle joué par l’UNCDF en accompagnant le lancement du crédit digital par un opérateur téléphonique en Ouganda en 2017, qui a attiré plus de trois millions d’utilisateurs dès les premiers mois.
L’occasion sera également donnée de revisiter le parcours digital d’une institution de microfinance au Sénégal, qui a numérisé la collecte de l’épargne de 90 000 femmes.
Selon la même source, la première journée de cette rencontre sera dédiée à l’état des services financiers numériques en Afrique de l’Ouest, et au rôle de l’innovation dans l’avenir de la finance digitale, avec des intervenants de Chine, du Bénin, du Sénégal, de l’Ouganda, de Zambie et de Fiji dans le Pacifique.
Et d’ajouter que la deuxième journée sera consacrée à des exercices sur le terrain. Les participants testeront, auprès d'utilisateurs à Thiès, comment les solutions digitales peuvent améliorer la communication avec les clients, changer la façon d’attribuer des crédits ou permettre un meilleur suivi de la distribution des services financiers.
Au cours de la dernière journée, note-le communiqué, les participants pourront partager des leçons apprises dans des secteurs comme l’agriculture et participer à une séance de networking.
A l’en croire, plus de 170 participants, impliqués dans des projets de finance digitale mis en œuvre en Asie, dans le Pacifique et en Afrique subsaharienne prendront part à l’évènement : des acteurs du secteur privé tels que les opérateurs de téléphonie mobile (Airtel, MTN, Orange , Vodafone Fidji , etc.), les fournisseurs de services financiers (Equity, Stanbic, CAURIE, etc.), des compagnies d'assurance (comme Fidji Care ) et d'autres fournisseurs de services non bancaires tels que Kazang, PEAS , Sun Farmers, Zoona et Tootle.
Pour rappel,l’UNCDF est l’Agence d’investissement des Nations Unies pour les 47 pays les moins avancés (PMA) du monde. Dans le cadre de son mandat de fourniture de capitaux et d’instruments d’investissement, l’UNCDF offre des modèles de financement du « dernier maillon », permettant de débloquer des ressources publiques et privées, notamment au niveau national, afin de réduire la pauvreté et d’encourager le développement économique local. Ce « dernier maillon » représente les lieux où les ressources affectées au développement sont les plus limitées, où les inégalités du marché sont les plus prononcées et où les profits de la croissance nationale tendent à ne pas être inclusifs.
Mariama Diallo