
Les obligations vertes ou «green bonds» sont un petit segment du marché de la dette destiné à financer les projets environnementaux, les énergies propres, les transports en commun et d’autres projets sobres en carbone, susceptibles de contribuer à l’adaptation au changement climatique.
Depuis leur introduction en 2007, les obligations vertes ont principalement été émises par des institutions de développement comme la Banque mondiale et la Société financière internationale (IFC). Elles ont permis de financer des projets respectueux du climat et de l’environnement, par exemple l’expansion de l’énergie solaire dans les zones rurales au Pérou, le déploiement à grande échelle des énergies renouvelables au Mexique, l’amélioration de l’efficacité de l’irrigation en Tunisie, ou le recours accru à des transports urbains non polluants en Colombie.
Les investisseurs apprécient non seulement la liquidité et le rendement fixe des obligations vertes, mais également l’effet bénéfique qu’elles peuvent produire.
« La dégradation de l’environnement, la pauvreté et les conséquences du changement climatique sont autant de facteurs qui mettent en péril le bien-être et la stabilité des pays, des populations, des ressources et des entreprises. Les investisseurs sont de plus en plus conscients des menaces que ces facteurs représentent pour le rendement financier à long terme, et en tiennent compte dans leurs décisions», explique Laura Tlaiye, conseillère en investissements durables à la Banque mondiale, qui figure parmi les premiers et plus importants émetteurs d’obligations vertes: plus de 27 milliards de dollars, dans 18 monnaies.
Ecofin
Depuis leur introduction en 2007, les obligations vertes ont principalement été émises par des institutions de développement comme la Banque mondiale et la Société financière internationale (IFC). Elles ont permis de financer des projets respectueux du climat et de l’environnement, par exemple l’expansion de l’énergie solaire dans les zones rurales au Pérou, le déploiement à grande échelle des énergies renouvelables au Mexique, l’amélioration de l’efficacité de l’irrigation en Tunisie, ou le recours accru à des transports urbains non polluants en Colombie.
Les investisseurs apprécient non seulement la liquidité et le rendement fixe des obligations vertes, mais également l’effet bénéfique qu’elles peuvent produire.
« La dégradation de l’environnement, la pauvreté et les conséquences du changement climatique sont autant de facteurs qui mettent en péril le bien-être et la stabilité des pays, des populations, des ressources et des entreprises. Les investisseurs sont de plus en plus conscients des menaces que ces facteurs représentent pour le rendement financier à long terme, et en tiennent compte dans leurs décisions», explique Laura Tlaiye, conseillère en investissements durables à la Banque mondiale, qui figure parmi les premiers et plus importants émetteurs d’obligations vertes: plus de 27 milliards de dollars, dans 18 monnaies.
Ecofin