
Or, dans de nombreux cas, il est communément admis que le budget participatif, qui apparaît, de plus en plus, comme une innovation des pratiques d’administration des collectivités locales, peut apporter une réponse pertinente, a-t-il ajouté.
Il présidait au nom de M. Abdoulaye Diouf SARR, Ministre de la Gouvernance locale, du Développement et de l’Aménagement du Territoire, la cérémonie d’ouverture de l’atelier de lancement du Projet de promotion de la participation citoyenne à la planification, la budgétisation et la gestion des affaires locales au sein des 45 collectivités locales pilotes, au Sénégal
Selon lui, cet atelier constitue une réponse à une aspiration des populations et à la nécessité de générer assez de ressources pour mener des projets favorisant le développement durable.
Il souligne que la promotion des principes de bonne gouvernance locale est au cœur de l’approche du budget participatif. Son efficacité se lit dans le souci de rendre la gestion des ressources des collectivités locales plus transparente, mais aussi dans la volonté de stimuler la participation des citoyens à la prise de décisions relatives à l’utilisation des deniers publics.
C’est là, tout l’intérêt pour une collectivité locale d’asseoir un budget participatif avec tous les avantages qu’il peut bien procurer aux autorités locales et à la société civile, a-t-il noté.
M .Turpin informe que d’autres processus sont en train d’être conduits en faveur d’une institutionnalisation de la pratique du budget participatif. Cette volonté d’institutionnalisation s’explique par le fait que le budget participatif favorise une meilleure implication des citoyens par rapport à l’utilisation des ressources publiques. Il encourage, en outre, l’avènement de collectivités locales socialement mieux intégrées, en permettant aux catégories sociales traditionnellement marginalisées de rompre avec le cycle de l’exclusion.
Il invite ainsi tous les exécutifs locaux, qui décideraient de se lancer dans la promotion du budget participatif dans leur collectivité locale, à s’entourer des précautions méthodologiques indispensables.
Pour rappel, ce projet qui va durer trois ans constitue la deuxième phase d’une première expérience tentée par Enda ECOPOP et le PNDL dans le cadre de la convention établie entre ces deux institutions. Il vise à promouvoir une gouvernance participative transparente et efficace des collectivités locales par la pratique du budget participatif dans les 14 régions du Sénégal. Cette nouvelle phase couvrira 105 collectivités locales reparties sur l’ensemble du territoire national.
Ndeye Maguette Kebe
Il présidait au nom de M. Abdoulaye Diouf SARR, Ministre de la Gouvernance locale, du Développement et de l’Aménagement du Territoire, la cérémonie d’ouverture de l’atelier de lancement du Projet de promotion de la participation citoyenne à la planification, la budgétisation et la gestion des affaires locales au sein des 45 collectivités locales pilotes, au Sénégal
Selon lui, cet atelier constitue une réponse à une aspiration des populations et à la nécessité de générer assez de ressources pour mener des projets favorisant le développement durable.
Il souligne que la promotion des principes de bonne gouvernance locale est au cœur de l’approche du budget participatif. Son efficacité se lit dans le souci de rendre la gestion des ressources des collectivités locales plus transparente, mais aussi dans la volonté de stimuler la participation des citoyens à la prise de décisions relatives à l’utilisation des deniers publics.
C’est là, tout l’intérêt pour une collectivité locale d’asseoir un budget participatif avec tous les avantages qu’il peut bien procurer aux autorités locales et à la société civile, a-t-il noté.
M .Turpin informe que d’autres processus sont en train d’être conduits en faveur d’une institutionnalisation de la pratique du budget participatif. Cette volonté d’institutionnalisation s’explique par le fait que le budget participatif favorise une meilleure implication des citoyens par rapport à l’utilisation des ressources publiques. Il encourage, en outre, l’avènement de collectivités locales socialement mieux intégrées, en permettant aux catégories sociales traditionnellement marginalisées de rompre avec le cycle de l’exclusion.
Il invite ainsi tous les exécutifs locaux, qui décideraient de se lancer dans la promotion du budget participatif dans leur collectivité locale, à s’entourer des précautions méthodologiques indispensables.
Pour rappel, ce projet qui va durer trois ans constitue la deuxième phase d’une première expérience tentée par Enda ECOPOP et le PNDL dans le cadre de la convention établie entre ces deux institutions. Il vise à promouvoir une gouvernance participative transparente et efficace des collectivités locales par la pratique du budget participatif dans les 14 régions du Sénégal. Cette nouvelle phase couvrira 105 collectivités locales reparties sur l’ensemble du territoire national.
Ndeye Maguette Kebe