
Mouhamed Boun Abdallah Dionne , premier ministre du Sénégal
L’examen des efforts que notre gouvernements porte à la question liée à l’environnement occupe une place grandissante dans les programmes de contrôle, a-t-il souligné auparavant lors de la cérémonie d’ouverture de la cinquième réunion annuelle du groupe de travail de l’AFRISAI (Association des institutions de contrôles d’Afrique) sur l’audit environnemental.
Ajoutant qu’il est heureux qu’il en soit ainsi au moment où des défis environnementaux de toutes sortes vont planer de lourds et présents périls sur le développement des pays africains.
Selon le premier ministre, le défi plus urgent à résoudre est l’apport contraignant de la conférence climat cop 21 qui va aborder dans deux semaines des thèmes centraux sur l’atténuation des gaz à effet de serre mais aussi sur l’adaptation.
M. Dionne poursuit qu’à ces défis s’ajoutent l’érosion côtière, la dégradation des terres, la réduction des forêts, la dégradation des habitats de la faune, la diminution de l’effectif de certaines espèces, l’évolution technologique et industrielle, les produits chimiques et autres substances et déchets ménagères. Ils constituent des dangers de tous les instants pour nos populations et pour nos économies encore si fragiles.
Les objectifs de développement durable (ODD) issus de cette stratégie nationale en ce qui concerne le Sénégal vise essentiellement la réduction de la pauvreté et concerne tous les acteurs publics et privés et à tous les niveaux de gouvernement national et local, a-t-il annoncé.
Il informe aussi que le gouvernement du Sénégal dispose d’un document de programmation pluri annuel des dépenses qui constituent le levier de mise en œuvre de la politique nationale en manière d’environnement, outil de pilotage d’une gestion environnementale et sur les résultats et ce document est le référentiel pour toute mesure de notre action en la matière .
Ndeye Maguette Kébé
Ajoutant qu’il est heureux qu’il en soit ainsi au moment où des défis environnementaux de toutes sortes vont planer de lourds et présents périls sur le développement des pays africains.
Selon le premier ministre, le défi plus urgent à résoudre est l’apport contraignant de la conférence climat cop 21 qui va aborder dans deux semaines des thèmes centraux sur l’atténuation des gaz à effet de serre mais aussi sur l’adaptation.
M. Dionne poursuit qu’à ces défis s’ajoutent l’érosion côtière, la dégradation des terres, la réduction des forêts, la dégradation des habitats de la faune, la diminution de l’effectif de certaines espèces, l’évolution technologique et industrielle, les produits chimiques et autres substances et déchets ménagères. Ils constituent des dangers de tous les instants pour nos populations et pour nos économies encore si fragiles.
Les objectifs de développement durable (ODD) issus de cette stratégie nationale en ce qui concerne le Sénégal vise essentiellement la réduction de la pauvreté et concerne tous les acteurs publics et privés et à tous les niveaux de gouvernement national et local, a-t-il annoncé.
Il informe aussi que le gouvernement du Sénégal dispose d’un document de programmation pluri annuel des dépenses qui constituent le levier de mise en œuvre de la politique nationale en manière d’environnement, outil de pilotage d’une gestion environnementale et sur les résultats et ce document est le référentiel pour toute mesure de notre action en la matière .
Ndeye Maguette Kébé