
« L’incident sans précédent de Keur Momar Sarr en 2013 qui a privé d’eau une partie importante de la capitale sénégalaise durant plusieurs semaines a mis en lumière les failles du système d’approvisionnement d’eau du pays, notamment le manque d’autonomie en pièces de rechanges de la société de distribution d’eau » souligne le communiqué.
« D’autres menaces planent sur le droit d’accès à l’eau. Parmi celles-ci on peut noter la précarité de la ressource, les menaces environnementales que sont l’envahissement de certaines sources d’alimentation par les plantes et les algues .Il s’y ajoute la faiblesse et la non transparence des modèles de gestion et l’accès limité à l’information et la liberté d’expression sur les questions politiques relatives de l’accès à l’eau ».
Le document renseigne que « Des efforts importants ont été fournis pour l’atteinte des OMD dans le secteur eau et assainissement mais il reste énormément à faire pour l’accès universel aux services d’eau potables, assainissemnt et hygiène en 2030 ».
« Les leaders politiques doivent faire preuve d’audace et fixer un calendrier ambitieux pour concrétiser l’accès universel à l’eau potable, l’assainissement et l’hygiène » indique le texte.
« Nous ne pourrons pas éliminer la pauvreté sans cela, parce que l’amélioration de ces services joue un rôle capital dans les avancées relatives à la santé, à l’éducation, à l’égalité homme-femme mais aussi dans la croissance économique et l’emploi ainsi que la protection de l’emploi ».
Ndeye Maguette kébé
« D’autres menaces planent sur le droit d’accès à l’eau. Parmi celles-ci on peut noter la précarité de la ressource, les menaces environnementales que sont l’envahissement de certaines sources d’alimentation par les plantes et les algues .Il s’y ajoute la faiblesse et la non transparence des modèles de gestion et l’accès limité à l’information et la liberté d’expression sur les questions politiques relatives de l’accès à l’eau ».
Le document renseigne que « Des efforts importants ont été fournis pour l’atteinte des OMD dans le secteur eau et assainissement mais il reste énormément à faire pour l’accès universel aux services d’eau potables, assainissemnt et hygiène en 2030 ».
« Les leaders politiques doivent faire preuve d’audace et fixer un calendrier ambitieux pour concrétiser l’accès universel à l’eau potable, l’assainissement et l’hygiène » indique le texte.
« Nous ne pourrons pas éliminer la pauvreté sans cela, parce que l’amélioration de ces services joue un rôle capital dans les avancées relatives à la santé, à l’éducation, à l’égalité homme-femme mais aussi dans la croissance économique et l’emploi ainsi que la protection de l’emploi ».
Ndeye Maguette kébé