«Nous pensons que chaque membre de la communauté du développement doit être un courtier honnête qui contribue à obtenir des résultats mutuellement bénéfiques où les détenteurs de capitaux bénéficient d’un retour sur investissement raisonnable et les pays en développement maximisent les investissements durables», déclare Kim Yong.
Selon lui, les milliers de milliards de dollars qui sont mis de côté, produisant peu d’intérêts, et les investisseurs qui recherchent de meilleures opportunités devraient être mobilisés pour nous aider à combler les aspirations des populations aux quatre coins du monde.
Prononçant une allocution à la London School of Economics en prélude aux Réunions de printemps du Groupe Banque mondiale et du FMI, le président de la Banque mondiale a indiqué que pour promouvoir l’investissement privé, le financement du développement doit viser à éliminer systématiquement les risques dans les pays. Le secteur privé doit par ailleurs réaliser ces investissements d’une manière qui profite aux pays et aux populations pauvres, en associant les capitaux privés et les compétences techniques ainsi que la connaissance des pays et de l’économie.
«Toutes les institutions de financement du développement devraient s’employer à attirer les capitaux privés en adoptant un ensemble de principes qui aideront à mobiliser le maximum de ressources pour les pauvres», fait savoir Kim Yong. «S’il est aisé de parler de cette approche, il sera en revanche très difficile de réformer l’architecture mondiale du développement afin de l’appliquer».
Pathé TOURE
Selon lui, les milliers de milliards de dollars qui sont mis de côté, produisant peu d’intérêts, et les investisseurs qui recherchent de meilleures opportunités devraient être mobilisés pour nous aider à combler les aspirations des populations aux quatre coins du monde.
Prononçant une allocution à la London School of Economics en prélude aux Réunions de printemps du Groupe Banque mondiale et du FMI, le président de la Banque mondiale a indiqué que pour promouvoir l’investissement privé, le financement du développement doit viser à éliminer systématiquement les risques dans les pays. Le secteur privé doit par ailleurs réaliser ces investissements d’une manière qui profite aux pays et aux populations pauvres, en associant les capitaux privés et les compétences techniques ainsi que la connaissance des pays et de l’économie.
«Toutes les institutions de financement du développement devraient s’employer à attirer les capitaux privés en adoptant un ensemble de principes qui aideront à mobiliser le maximum de ressources pour les pauvres», fait savoir Kim Yong. «S’il est aisé de parler de cette approche, il sera en revanche très difficile de réformer l’architecture mondiale du développement afin de l’appliquer».
Pathé TOURE