chroniques
Brima Mangara, ministre en charge du budget
En 2016, le maximum de ressources sera consacré à l’investissement pour assurer la transformation structurelle de l’économie du Sénégal et élargir l’accès des populations aux services sociaux de base, a-t-il dit en marge d’une conférence de presse axée sur la loi de finances initiale de 2016.
Selon le porte parole du gouvernement, plus d’investissements seront consentis, pour plus de croissance économique, pour un partage équitable de la richesse créée, entre les différentes couches de la population.
M. Gueye explique que l'accroissement du budget d'investissement consacre l'effort de rationalisation des dépenses publiques entamé depuis 2012 et qui avait permis, en 2015, de transférer des dépenses à forte connotation de fonctionnement d'un montant de 36,972 milliards de FCFA du budget d'investissement vers le budget de fonctionnement, ainsi que de supprimer du budget consolidé d'investissement des projets d'appui institutionnels pour un montant de 25,165 milliards de FCFA.
Cette tendance s'est poursuivie dans le budget d'investissement pour 2016 où des dépenses relevant de projets d'appui institutionnels ont été supprimées pour un montant de 28,827634 milliards de FCFA, poursuit- il.
Les économies budgétaires réalisées ont permis de programmer, sur ressources internes de l'Etat, 19 projets structurant, pour un montant de 111,2 milliards de FCFA, inscrits dans le Programme d`actions Prioritaires(PAP) du Plan Sénégal Emergent (PSE), a-t-il fait savoir.
Par ailleurs pour élargir l'accès aux services sociaux de base et la couverture sociale, ainsi que de préserver les conditions d'un développement durable, une dotation budgétaire de 74 milliards de FCFA a été allouée.
Le porte parole du Gouvernement renseigne que tous ces projets concourent à la formation du capital humain, à la protection sociale et au développement durable.
Il s’y ajoute les projets relatifs à la gouvernance, la paix et la sécurité, bénéficient également d’allocations substantielles pour la mise en œuvre de programmes de bonne gouvernance, de sûreté et de sécurité nationale, à hauteur de 75,7 milliards de FCFA.
En 2015, la croissance du PIB est passée de 4,6% au premier trimestre à 5,1% au second trimestre, grâce à la bonne tenue du secteur secondaire, révèle M. Gueye.
Selon lui, les bonnes prévisions dans le secteur agricole vont certainement conforter le taux de croissance estimé à 5,4% en 2015. Le dynamisme de l’activité économique devrait se poursuivre en 2016 avec un taux de croissance de 6%.
Ndeye Maguette Kebe
Selon le porte parole du gouvernement, plus d’investissements seront consentis, pour plus de croissance économique, pour un partage équitable de la richesse créée, entre les différentes couches de la population.
M. Gueye explique que l'accroissement du budget d'investissement consacre l'effort de rationalisation des dépenses publiques entamé depuis 2012 et qui avait permis, en 2015, de transférer des dépenses à forte connotation de fonctionnement d'un montant de 36,972 milliards de FCFA du budget d'investissement vers le budget de fonctionnement, ainsi que de supprimer du budget consolidé d'investissement des projets d'appui institutionnels pour un montant de 25,165 milliards de FCFA.
Cette tendance s'est poursuivie dans le budget d'investissement pour 2016 où des dépenses relevant de projets d'appui institutionnels ont été supprimées pour un montant de 28,827634 milliards de FCFA, poursuit- il.
Les économies budgétaires réalisées ont permis de programmer, sur ressources internes de l'Etat, 19 projets structurant, pour un montant de 111,2 milliards de FCFA, inscrits dans le Programme d`actions Prioritaires(PAP) du Plan Sénégal Emergent (PSE), a-t-il fait savoir.
Par ailleurs pour élargir l'accès aux services sociaux de base et la couverture sociale, ainsi que de préserver les conditions d'un développement durable, une dotation budgétaire de 74 milliards de FCFA a été allouée.
Le porte parole du Gouvernement renseigne que tous ces projets concourent à la formation du capital humain, à la protection sociale et au développement durable.
Il s’y ajoute les projets relatifs à la gouvernance, la paix et la sécurité, bénéficient également d’allocations substantielles pour la mise en œuvre de programmes de bonne gouvernance, de sûreté et de sécurité nationale, à hauteur de 75,7 milliards de FCFA.
En 2015, la croissance du PIB est passée de 4,6% au premier trimestre à 5,1% au second trimestre, grâce à la bonne tenue du secteur secondaire, révèle M. Gueye.
Selon lui, les bonnes prévisions dans le secteur agricole vont certainement conforter le taux de croissance estimé à 5,4% en 2015. Le dynamisme de l’activité économique devrait se poursuivre en 2016 avec un taux de croissance de 6%.
Ndeye Maguette Kebe
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