Selon l’Uemoa dans sa note de conjoncture économique régionale, le Bénin (+18,1%), la Guinée Bissau (+12,4%) et le Niger (+8,2%) sont les pays pour lesquels les achats à l’extérieur se sont affichés en hausse trimestrielle. Pour les autres Etats membres, la plus forte baisse des importations a été enregistrée au niveau de la Côte d’Ivoire (-28,0%), suivie du Burkina Faso (-9,9%), du Mali (-9,3%), du Sénégal (-9,1%) et du Togo (-6,8%).
Les principaux biens acquis par le Bénin à l’extérieur ayant contribué à l’augmentation observée de ses importations au cours du trimestre sous revue portent sur le « riz semi blanchi, même poli, glacé, étuvé ou converti (y compris le riz en brisures) » (+14,5 pp), les « engrais, n.d.a. » (+7,5 pp) et les « poissons congelés (à l'exception des filets de poisson et du poisson haché) » (+2,1 pp). Sur la même période, informe la même source, les principaux pays d’origine des achats du Bénin dans le monde ont été l’Inde, avec une part de 30,2% dans les importations totales, la Chine (+10,1%) et la France (+8,6%). En Afrique, la Côte d’Ivoire (+3,6%) est suivie du Nigéria (+2,4%).
Pour ce qui est du Niger, la hausse de ses importations provient de l’augmentation des achats enregistrée au niveau des « produits pétroliers » (+50,1%) et des « produits alimentaires » (+21,4%), laquelle a été atténuée par les baisses des acquisitions des « biens d’équipement » (-1,6%) et des « autres produits » (-7,5%).
En glissement annuel, au premier trimestre 2025, les importations de l’Union se sont établies en hausse de 430,7 mds (+6,0%), cette évolution résultant de leur augmentation dans tous les Etats membres, à l’exception du Mali (-6,4%) et du Togo (-4,9%). Pour les autres Etats, les progressions se présentent comme suit : Bénin (+9,2%), Burkina Faso (+4,3%), Côte d’Ivoire (+7,1%), Guinée Bissau (+15,9%), Niger (+55,0%) et Sénégal (+9,7%).
L’évolution des importations en glissement annuel du Bénin est expliquée notamment par la hausse des achats du « riz semi-blanchi, même poli, glacé, étuvé ou converti (y compris le riz en brisures) » (+28,8 pp) et des « engrais, n.d.a. » (+1,4 pp). Pour le Niger, explique-t-on, la hausse provient de l’augmentation des achats de tous les produits à savoir les « produits pétrolier » (+87,5%), les « produits alimentaires » (+79,0%), les « biens d’équipement » (+52,7%) et les « autres produits » (+22,4%).
Adou Faye
Les principaux biens acquis par le Bénin à l’extérieur ayant contribué à l’augmentation observée de ses importations au cours du trimestre sous revue portent sur le « riz semi blanchi, même poli, glacé, étuvé ou converti (y compris le riz en brisures) » (+14,5 pp), les « engrais, n.d.a. » (+7,5 pp) et les « poissons congelés (à l'exception des filets de poisson et du poisson haché) » (+2,1 pp). Sur la même période, informe la même source, les principaux pays d’origine des achats du Bénin dans le monde ont été l’Inde, avec une part de 30,2% dans les importations totales, la Chine (+10,1%) et la France (+8,6%). En Afrique, la Côte d’Ivoire (+3,6%) est suivie du Nigéria (+2,4%).
Pour ce qui est du Niger, la hausse de ses importations provient de l’augmentation des achats enregistrée au niveau des « produits pétroliers » (+50,1%) et des « produits alimentaires » (+21,4%), laquelle a été atténuée par les baisses des acquisitions des « biens d’équipement » (-1,6%) et des « autres produits » (-7,5%).
En glissement annuel, au premier trimestre 2025, les importations de l’Union se sont établies en hausse de 430,7 mds (+6,0%), cette évolution résultant de leur augmentation dans tous les Etats membres, à l’exception du Mali (-6,4%) et du Togo (-4,9%). Pour les autres Etats, les progressions se présentent comme suit : Bénin (+9,2%), Burkina Faso (+4,3%), Côte d’Ivoire (+7,1%), Guinée Bissau (+15,9%), Niger (+55,0%) et Sénégal (+9,7%).
L’évolution des importations en glissement annuel du Bénin est expliquée notamment par la hausse des achats du « riz semi-blanchi, même poli, glacé, étuvé ou converti (y compris le riz en brisures) » (+28,8 pp) et des « engrais, n.d.a. » (+1,4 pp). Pour le Niger, explique-t-on, la hausse provient de l’augmentation des achats de tous les produits à savoir les « produits pétrolier » (+87,5%), les « produits alimentaires » (+79,0%), les « biens d’équipement » (+52,7%) et les « autres produits » (+22,4%).
Adou Faye