« Dans ce cadre les autorités sont chargés de mettre en œuvre la politique d’une gouvernance foncière optimale et d’y impliquer tout le peuple sénégalais, car le système de gestion foncière actuel n’est pas participatif ».
Il s’exprimait en marge de la cérémonie d’ouverture d’un atelier de restitution de l’étude de capitalisation des expériences et travaux de recherche menés dans le cadre de la gouvernance foncière au Sénégal organisée par Conseil des Organisations Non Gouvernementales pour le Développement (CONGAD) et appuyée par l’union européenne. Cette rencontre a regroupé une quarantaine de participants essentiellement issus de la société civile. L’objectif de cet atelier consiste à partager et valider les résultats avec l’ensemble des acteurs.
M .Sourang, poursuit que ‘’de ce point de vue, il faut une politique foncière adaptée aux nouvelles orientations de stratégies de developpement au Sénégal’’.
‘’La loi numéro 64-46 du 17 juin 1964 relatif au domaine national dans l’esprit du législateur avait comme objectif majeur contribuée à favoriser la mise en valeur des terres et de mettre fin aux injustices découlant de l’exploitation des paysans par des acquisitions de terre à grande échelle’’, a-t-il souligné.
‘’Cette loi souffre à l’épreuve du temps et de la pratique d’un certain nombre de limites objectives qui pour leur prise en charge relate la définition de nouveaux axes de réformes ‘’ ; a-t-il préconisé.
Des résultats probants sont attendus à travers cette rencontre et il s’agit entre autre du partage de ce rapport d’étude avec les autorités locales, les acteurs de la société civile mais surtout de permettre aux acteurs du developpement local de s’approprier dudit rapport.
Ndeye Maguette Kébé
Il s’exprimait en marge de la cérémonie d’ouverture d’un atelier de restitution de l’étude de capitalisation des expériences et travaux de recherche menés dans le cadre de la gouvernance foncière au Sénégal organisée par Conseil des Organisations Non Gouvernementales pour le Développement (CONGAD) et appuyée par l’union européenne. Cette rencontre a regroupé une quarantaine de participants essentiellement issus de la société civile. L’objectif de cet atelier consiste à partager et valider les résultats avec l’ensemble des acteurs.
M .Sourang, poursuit que ‘’de ce point de vue, il faut une politique foncière adaptée aux nouvelles orientations de stratégies de developpement au Sénégal’’.
‘’La loi numéro 64-46 du 17 juin 1964 relatif au domaine national dans l’esprit du législateur avait comme objectif majeur contribuée à favoriser la mise en valeur des terres et de mettre fin aux injustices découlant de l’exploitation des paysans par des acquisitions de terre à grande échelle’’, a-t-il souligné.
‘’Cette loi souffre à l’épreuve du temps et de la pratique d’un certain nombre de limites objectives qui pour leur prise en charge relate la définition de nouveaux axes de réformes ‘’ ; a-t-il préconisé.
Des résultats probants sont attendus à travers cette rencontre et il s’agit entre autre du partage de ce rapport d’étude avec les autorités locales, les acteurs de la société civile mais surtout de permettre aux acteurs du developpement local de s’approprier dudit rapport.
Ndeye Maguette Kébé