chroniques
Mamadou Djigo , directeur de l’agence nationale d’aménagement du territoire(ANAT).
Selon lui, ‘’Dans les approches courantes en matière d’Aménagement et de Développement territorial, si les territoires sont étudiés à travers leurs processus d’ajustement, de transformation et d’évolution permanents, on se heurte cependant, très souvent, à la question des modalités de mise en œuvre dans la mesure où seule les dynamiques d’apprentissage et d’interaction sont invoquées’’.
‘’Pour le cas du triangle Dakar-Thiès-Mbour, si le territoire en question se caractérise par sa capacité d’innover, de créer des avantages spécifiques et de modifier sa trajectoire et celle de la ville capitale y compris sa banlieue, c’est parce qu’il dispose de cette capacité d’adaptation, amplifiée par toute cette dynamique enclenchée avec l’installation de la Zone économique spéciale intégrée (ZESI), de l’Aéroport international Blaise Diagne (AIBD), de l’autoroute à péage, du Pôle urbain de Diamniadio et du Lac rose’’ a-t-il expliqué lors d’un atelier de validation technique du schéma directeur d’aménagement et de developpement territoriale .
‘’Cependant, nous restons convaincus que pour éviter que cette zone ne reproduise les clichés actuels observés sur Dakar avec une décomposition du tissu urbain, une anarchie et une inorganisation insupportable sur le plan socioéconomique et environnemental, il va falloir inscrire le processus dans une logique d’interaction consensuelle encadrée’’.
‘’Il sera probablement beaucoup question d’innovation dans le processus de mise en œuvre du Schéma directeur d’Aménagement et de Développement territorial’’ a estimé M. Djigo.
‘’De ce point de vu, si l’apprentissage qui doit accompagner ce processus désigne une certaine propension à saisir et à comprendre les mutations qui s’opèrent dans le triangle Dakar-Thiès-Mbour, la mise en place de solutions permettant l’évolution d’un état jugé intolérable vers un autre souhaité nécessite obligatoirement une étroite interaction entre les acteurs qui doivent agir ensemble’’, a-t-il ajouté.
Ndeye Maguette Kébé
‘’Pour le cas du triangle Dakar-Thiès-Mbour, si le territoire en question se caractérise par sa capacité d’innover, de créer des avantages spécifiques et de modifier sa trajectoire et celle de la ville capitale y compris sa banlieue, c’est parce qu’il dispose de cette capacité d’adaptation, amplifiée par toute cette dynamique enclenchée avec l’installation de la Zone économique spéciale intégrée (ZESI), de l’Aéroport international Blaise Diagne (AIBD), de l’autoroute à péage, du Pôle urbain de Diamniadio et du Lac rose’’ a-t-il expliqué lors d’un atelier de validation technique du schéma directeur d’aménagement et de developpement territoriale .
‘’Cependant, nous restons convaincus que pour éviter que cette zone ne reproduise les clichés actuels observés sur Dakar avec une décomposition du tissu urbain, une anarchie et une inorganisation insupportable sur le plan socioéconomique et environnemental, il va falloir inscrire le processus dans une logique d’interaction consensuelle encadrée’’.
‘’Il sera probablement beaucoup question d’innovation dans le processus de mise en œuvre du Schéma directeur d’Aménagement et de Développement territorial’’ a estimé M. Djigo.
‘’De ce point de vu, si l’apprentissage qui doit accompagner ce processus désigne une certaine propension à saisir et à comprendre les mutations qui s’opèrent dans le triangle Dakar-Thiès-Mbour, la mise en place de solutions permettant l’évolution d’un état jugé intolérable vers un autre souhaité nécessite obligatoirement une étroite interaction entre les acteurs qui doivent agir ensemble’’, a-t-il ajouté.
Ndeye Maguette Kébé
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