
Il présidait la clôture de l’atelier de validation du plan d’actions Genre et commerce du ministère du commerce. M. Faye a souligné le contraste qui existe entre l’importance numérique des femmes sénégalaises et les revenus qu’elles tirent de leurs activités économiques majoritairement consacrées à l’économie informelle. « En réalité, lorsqu’on parle de transformation structurelle de notre économie, c’est cette tendance que nous voulons inverser », avance-t-il. Selon M. Faye ce sont des principes d’égalité et de d’équité qu’il faut mettre en exergue pour renverser cette tendance. De l’avis toujours du directeur de cabinet, « c’est en favorisant ce secteur qui est constitué essentiellement de femmes, que nous parviendrons à transformer structurellement notre économie ». A ses yeux, les autorités et pouvoirs publics ont fini de se rendre compte de l’enjeu de la question du genre pour le développement économique du Sénégal.
L’atelier a, entre autres, recommandé une meilleure valorisation de la transformation structurelle de l’économie, l’accès au financement des femmes ou encore l’organisation de la chaine de distribution des produits locaux.
El Hadj Diakhaté
L’atelier a, entre autres, recommandé une meilleure valorisation de la transformation structurelle de l’économie, l’accès au financement des femmes ou encore l’organisation de la chaine de distribution des produits locaux.
El Hadj Diakhaté