
Les femmes du continent peuvent bien compter sur les délégués membres des Parlements Africains. A l’occasion de leur conférence annuelle tenue en Afrique du Sud, ils ont de commun accord décidé de plaider la cause des femmes pour améliorer leur situation économique et leur participation politique en créant un environnement favorable pour des politiques efficaces.
Lors de cette conférence dont le thème portait sur : l'Année 2015 de la Promotion Féminine et du Développement de l'Afrique vers l'Agenda 2063», les participants ont souligné les difficultés pour les femmes dans l'accès aux finances et à l'obtention de la propriété foncière permanente et légale. Pire, les femmes subissent également une participation limitée dans la politique, le développement et, la prévention et la résolution des conflits, la conférence a souligné.
En plus, l'absence de propriété légale des terres laisse les femmes en stagnation économique, insécurité alimentaire et inégalités sociales. En conséquence, les gouvernements nationaux sont invités à soutenir l'appel pour un objectif de 30% pour les femmes à l'égard de nouvelles attributions de terres et la documentation des droits fonciers ainsi que l'emploi dans les établissements de l'administration et de la gestion des terres.
Les participants à la Conférence ont fait appel aux parlements nationaux d'avoir des politiques bien ancrées pour l'égalité des sexes et de soutenir la participation des femmes dans le processus de développement au niveau local.
La pleine participation des femmes ne peut pas se faire sans les compétences analytiques nécessaires et la présence de militants de genre qui peuvent mobiliser leurs parlements et les communautés.
La conférence a recommandé le Caucus des femmes du Parlement Panafricain à mobiliser des ressources pour renforcer les compétences d'analyse de genre des parlementaires régionaux et nationaux, des caucus et des comités restreints, afin de promouvoir une représentation égale des femmes.
Pathé TOURE
Lors de cette conférence dont le thème portait sur : l'Année 2015 de la Promotion Féminine et du Développement de l'Afrique vers l'Agenda 2063», les participants ont souligné les difficultés pour les femmes dans l'accès aux finances et à l'obtention de la propriété foncière permanente et légale. Pire, les femmes subissent également une participation limitée dans la politique, le développement et, la prévention et la résolution des conflits, la conférence a souligné.
En plus, l'absence de propriété légale des terres laisse les femmes en stagnation économique, insécurité alimentaire et inégalités sociales. En conséquence, les gouvernements nationaux sont invités à soutenir l'appel pour un objectif de 30% pour les femmes à l'égard de nouvelles attributions de terres et la documentation des droits fonciers ainsi que l'emploi dans les établissements de l'administration et de la gestion des terres.
Les participants à la Conférence ont fait appel aux parlements nationaux d'avoir des politiques bien ancrées pour l'égalité des sexes et de soutenir la participation des femmes dans le processus de développement au niveau local.
La pleine participation des femmes ne peut pas se faire sans les compétences analytiques nécessaires et la présence de militants de genre qui peuvent mobiliser leurs parlements et les communautés.
La conférence a recommandé le Caucus des femmes du Parlement Panafricain à mobiliser des ressources pour renforcer les compétences d'analyse de genre des parlementaires régionaux et nationaux, des caucus et des comités restreints, afin de promouvoir une représentation égale des femmes.
Pathé TOURE