
«Le fait que la moitié des femmes dans le monde soient exclues de la population active, alors que 58% d’entre elles préfèreraient avoir un emploi salarié, indique nettement qu’il existe d’importantes difficultés limitant leurs capacités et leur liberté de travailler», a déclaré la Directrice générale adjointe de l’OIT pour les Politiques, Deborah Greenfield.
Il souligne dans le même sillage que : «pour les dirigeants politiques, la priorité devrait donc être d’alléger les contraintes qui pèsent sur les femmes quand elles choisissent de participer au marché du travail et de supprimer les obstacles auxquels elles sont confrontées une fois qu’elles sont en poste».
Le rapport souligne entre autres que parmi les femmes en activité dans le monde, près de 15% sont des travailleuses familiales, contre un peu plus de 5% parmi les hommes.Dans les pays en développement, où près de 36,5% des femmes et seulement 17,2% des hommes sont employés comme travailleurs familiaux (non rémunérés), l’écart est plus marqué, avec 19%.
Pathé TOURE
Il souligne dans le même sillage que : «pour les dirigeants politiques, la priorité devrait donc être d’alléger les contraintes qui pèsent sur les femmes quand elles choisissent de participer au marché du travail et de supprimer les obstacles auxquels elles sont confrontées une fois qu’elles sont en poste».
Le rapport souligne entre autres que parmi les femmes en activité dans le monde, près de 15% sont des travailleuses familiales, contre un peu plus de 5% parmi les hommes.Dans les pays en développement, où près de 36,5% des femmes et seulement 17,2% des hommes sont employés comme travailleurs familiaux (non rémunérés), l’écart est plus marqué, avec 19%.
Pathé TOURE