
Prévue les 19 et 20 Juin 2017à N'Djamena, note un communiqué, cette rencontre rassemblera essentiellement une quarantaine de femmes issus des parlements et Sénats des pays membres du G5 Sahel dont le Tchad, pays hôte, la Mauritanie, le Niger, le Mali et le Burkina Faso. Pour tenir compte de l’envergure sécuritaire de la région, d’autres pays limitrophes et du Sahel ont été invités à prendre part à ces assises. Il s’agit de l’Algérie, de la Libye, du Cameroun, de la Cote D’Ivoire, de la Guinée, du Nigeria et du Sénégal.
Sont également attendus des personnalités représentantes des parlements régionaux et internationaux, souligne la même source, tels que l'Union Internationale des Parlementaires (UPI), Union des Parlementaires africains, (UPA), les représentants des organismes internationaux et des partenaires techniques et financiers.
De même, cette rencontre est la matérialisation des recommandations faites aux parlementaires des pays du G5 Sahel, les invitant à impulser l’autorité politique à des actions concrètes pour prévenir la radicalisation et l'extrémisme violent. Une action qui montre le rôle des femmes tant au niveau de l'exécutif que de l'appareil législatifafin d'élaborer le cadre des mesures spécifiques pour promouvoir leur leadership dans la prévention contre l’expansion de la radicalisation et de l’extrémisme violent.
La conférence mobilisera les femmes parlementaires autour de la question de l’extrémisme violent dans le sahel pour identifier les voies et moyens qui faciliteraient leurs contributions pour prévenir et lutter contre l'expansion de ce phénomène.
Pathé TOURE
Sont également attendus des personnalités représentantes des parlements régionaux et internationaux, souligne la même source, tels que l'Union Internationale des Parlementaires (UPI), Union des Parlementaires africains, (UPA), les représentants des organismes internationaux et des partenaires techniques et financiers.
De même, cette rencontre est la matérialisation des recommandations faites aux parlementaires des pays du G5 Sahel, les invitant à impulser l’autorité politique à des actions concrètes pour prévenir la radicalisation et l'extrémisme violent. Une action qui montre le rôle des femmes tant au niveau de l'exécutif que de l'appareil législatifafin d'élaborer le cadre des mesures spécifiques pour promouvoir leur leadership dans la prévention contre l’expansion de la radicalisation et de l’extrémisme violent.
La conférence mobilisera les femmes parlementaires autour de la question de l’extrémisme violent dans le sahel pour identifier les voies et moyens qui faciliteraient leurs contributions pour prévenir et lutter contre l'expansion de ce phénomène.
Pathé TOURE