chroniques
Macky Sall, président de la république du Sénégal à l`ouverture du Forum International sur la paix et la sécurité
Selon le président sénégalais Macky Sall , il est clair que le combat contre le terrorisme n’est pas seulement un combat militaire, c’est la portion la plus faible, nous devons travailler à donner des perspectives à la jeunesse africaine pour ne pas la laisser entre les mains des propagandistes jihadistes.
S’exprimant lors d’un panel de haut niveau sur le terrorisme en Afrique en marge du deuxième forum international de la paix, il suggère qu’il faut faire en sorte que l’exclusion sociale soit combattue, et que des politiques d’inclusion soient élaborées. Cela commence par la réduction des inégalités de toutes sortes dans les milieux urbains, les inégalités à l’égard de femmes et des jeunes.
Le président de la république du Sénégal pense par ailleurs qu’il faut développer des politiques d’intégration et d’emplois, mais à coté de ces politiques, il faut développer un discours philosophique et théologique. Citant en exemple, la formation des imams dans le sens pour aller ver un islam tolérant.
Il invite dans cette même lancée, les hommes politiques africains à assumer pleinement et à la lumière du jour la lutte contre le terrorisme.
La lutte contre le terrorisme va appeler une grande coopération, puisque nous sommes dans un bloc d’intégration où nous disons la libre circulation des personnes et des biens , cela favorise des crimes transfrontaliers, cela favorise également la circulation des terroristes en toute liberté, a-t-il expliqué.
Ajoutant qu’il faut la nécessité de poursuivre le processus d’intégration qui est aujourd’hui irréversible mais en même temps prendre les mesures de contrôle aux frontières et dans les territoires.
Selon lui, l’autre aspect est le partenariat parce que l’Afrique a suffisamment de bras si elle est accompagnée dans la formation de ces forces armées, de ces forces spéciales pour prendre en charge les problèmes du continent.
M .Sall indique que l’Afrique a besoin aussi de coopération, de formation. L’Afrique a besoin davantage de ressources, il faut que chaque pays mette un minimum pour remettre à niveau ces forces armées pour quelles soient des armées nationales au service de la nation, des républiques et au service de la sécurité et de la paix.
Une réponse vigoureuse s’impose et adaptée aux circonstances. D’où l’importance de mandat adapté avec des règles d’engagements et des équipements adaptés si nous ne voulons pas que nos pays ne soient des signaux faciles sans moyens de se défendre, a-t-il conclu.
Ndeye Maguette Kebe
S’exprimant lors d’un panel de haut niveau sur le terrorisme en Afrique en marge du deuxième forum international de la paix, il suggère qu’il faut faire en sorte que l’exclusion sociale soit combattue, et que des politiques d’inclusion soient élaborées. Cela commence par la réduction des inégalités de toutes sortes dans les milieux urbains, les inégalités à l’égard de femmes et des jeunes.
Le président de la république du Sénégal pense par ailleurs qu’il faut développer des politiques d’intégration et d’emplois, mais à coté de ces politiques, il faut développer un discours philosophique et théologique. Citant en exemple, la formation des imams dans le sens pour aller ver un islam tolérant.
Il invite dans cette même lancée, les hommes politiques africains à assumer pleinement et à la lumière du jour la lutte contre le terrorisme.
La lutte contre le terrorisme va appeler une grande coopération, puisque nous sommes dans un bloc d’intégration où nous disons la libre circulation des personnes et des biens , cela favorise des crimes transfrontaliers, cela favorise également la circulation des terroristes en toute liberté, a-t-il expliqué.
Ajoutant qu’il faut la nécessité de poursuivre le processus d’intégration qui est aujourd’hui irréversible mais en même temps prendre les mesures de contrôle aux frontières et dans les territoires.
Selon lui, l’autre aspect est le partenariat parce que l’Afrique a suffisamment de bras si elle est accompagnée dans la formation de ces forces armées, de ces forces spéciales pour prendre en charge les problèmes du continent.
M .Sall indique que l’Afrique a besoin aussi de coopération, de formation. L’Afrique a besoin davantage de ressources, il faut que chaque pays mette un minimum pour remettre à niveau ces forces armées pour quelles soient des armées nationales au service de la nation, des républiques et au service de la sécurité et de la paix.
Une réponse vigoureuse s’impose et adaptée aux circonstances. D’où l’importance de mandat adapté avec des règles d’engagements et des équipements adaptés si nous ne voulons pas que nos pays ne soient des signaux faciles sans moyens de se défendre, a-t-il conclu.
Ndeye Maguette Kebe
Accueil
Envoyer à un ami
Version imprimable
Partager
