Selon la DPEE, cette situation traduit le bon niveau d’exécution des dépenses d’investissement, atténué par un repli des dépenses courantes. En effet, sur les six (06) premiers mois de l’année 2017, les dépenses en capital sont évaluées à 490,3 milliards, soit une progression de 25,7 milliards, traduisant l’augmentation des investissements financés sur ressources extérieures (+36,0 milliards) qui sont évalués à 255,0 milliards.
En revanche, les investissements exécutés sur ressources internes (235,3 milliards) ont reculé de 4,2%. S’agissant des dépenses courantes, elles se sont chiffrées à 757,8 milliards, soit un recul de 2,9%, notamment expliqué par la diminution des charges de fonctionnement.
Ces dernières, évaluées à 367,2 milliards, se sont repliées de 45,0 milliards sous l’effet des dépenses de fournitures et entretien (-69,4 milliards), dans un contexte de rationalisation des dépenses de consommation. Toutefois, des progressions respectives de la masse salariale et des intérêts sur la dette, de 15,4 milliards et 7,0 milliards, sont enregistrées.
Pathé TOURE
En revanche, les investissements exécutés sur ressources internes (235,3 milliards) ont reculé de 4,2%. S’agissant des dépenses courantes, elles se sont chiffrées à 757,8 milliards, soit un recul de 2,9%, notamment expliqué par la diminution des charges de fonctionnement.
Ces dernières, évaluées à 367,2 milliards, se sont repliées de 45,0 milliards sous l’effet des dépenses de fournitures et entretien (-69,4 milliards), dans un contexte de rationalisation des dépenses de consommation. Toutefois, des progressions respectives de la masse salariale et des intérêts sur la dette, de 15,4 milliards et 7,0 milliards, sont enregistrées.
Pathé TOURE