S’exprimant au nom des organisations syndicales, Mody Guiro, secrétaire général de la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal (Cnts) a invité ses camarades syndicalistes à respecter leur engagement matérialisé par la signature du pacte.
«Notre signature nous engage et il nous faut nous assumer. J’invite tous les autres à en faire de même en respectant les termes de ce pacte historique, en ce sens que c’est la première fois que le gouvernement et les partenaires sociaux sont arrivés à discuter de la sorte », a déclaré M. Guiro.
Il a rappelé la grande rencontre tripartite entre le gouvernement, les organisations de travailleurs et le patronat, tenue le 27 février dernier. Cette négociation collective, a-t-il souligné, a permis de recenser les préoccupations des partenaires sociaux et au gouvernement de faire le point sur le contexte économique du pays et les accords en cours, avait pour objectif de baisser les tensions et réduire les dissensions entre ces trois acteurs, afin d’instaurer un climat social apaisé favorable à la mise en œuvre de la Vision Sénégal 20250, l’agenda national de transformation socio-économique du Sénégal.
Prenant la parole au nom du patronat, Baïdy Agne, président du Conseil national du patronat (Cnp) a affirmé que la construction de la souveraineté économique signifie la réduction de la dépendance à l’extérieur sans nuire à l’attractivité du pays. «Nous sommes tous Etat, secteur privé et travailleurs des partenaires. Ce qui est bon pour l’entreprise, est bon pour le Sénégal », a indiqué M. Agne.
Prenant la parole, le Premier ministre Ousmane Sonko a réaffirmé l'engagement du gouvernement à jouer dans la transparence. « Nous serons une maison de verre. Nous serons transparents avec vous. Ce que nous pouvons faire, nous vous le dirons. Ce que nous ne pouvons pas faire, nous vous le dirons également », a promis M. Sonko. Il s’est félicité de la signature de ce pacte de stabilité sociale qui constitue un tournant historique pour enfin construire un vrai modèle économique.
Adou Faye
«Notre signature nous engage et il nous faut nous assumer. J’invite tous les autres à en faire de même en respectant les termes de ce pacte historique, en ce sens que c’est la première fois que le gouvernement et les partenaires sociaux sont arrivés à discuter de la sorte », a déclaré M. Guiro.
Il a rappelé la grande rencontre tripartite entre le gouvernement, les organisations de travailleurs et le patronat, tenue le 27 février dernier. Cette négociation collective, a-t-il souligné, a permis de recenser les préoccupations des partenaires sociaux et au gouvernement de faire le point sur le contexte économique du pays et les accords en cours, avait pour objectif de baisser les tensions et réduire les dissensions entre ces trois acteurs, afin d’instaurer un climat social apaisé favorable à la mise en œuvre de la Vision Sénégal 20250, l’agenda national de transformation socio-économique du Sénégal.
Prenant la parole au nom du patronat, Baïdy Agne, président du Conseil national du patronat (Cnp) a affirmé que la construction de la souveraineté économique signifie la réduction de la dépendance à l’extérieur sans nuire à l’attractivité du pays. «Nous sommes tous Etat, secteur privé et travailleurs des partenaires. Ce qui est bon pour l’entreprise, est bon pour le Sénégal », a indiqué M. Agne.
Prenant la parole, le Premier ministre Ousmane Sonko a réaffirmé l'engagement du gouvernement à jouer dans la transparence. « Nous serons une maison de verre. Nous serons transparents avec vous. Ce que nous pouvons faire, nous vous le dirons. Ce que nous ne pouvons pas faire, nous vous le dirons également », a promis M. Sonko. Il s’est félicité de la signature de ce pacte de stabilité sociale qui constitue un tournant historique pour enfin construire un vrai modèle économique.
Adou Faye