Concernant la fécondité des femmes, l’Ansd renseignent que les résultats de l’enquête mettent en évidence la fécondité des adolescentes âgées de 15-19 ans. «Sur toutes les
modalités, nous constatons une évolution ascendante avec l’âge.
Pour celles qui ont déjà une naissance vivante au moment de l’enquête, les adolescentes âgées de 19 ans constituent la proportion la plus élevée avec 28% et celles âgées de 15 ans la plus faible avec 1,1%. Les
adolescentes qui sont enceintes de leur premier enfant représentent 6,2% chez les jeunes femmes âgées de 19 ans et 4,6%, 4,3%, 3,4% et 0,7% respectivement chez celles âgées de 18, 17, 16 et 15 ans », lit-on dans le rapport.
Pour le groupe d’âge 15-17 ans, 5,1% ont une naissance vivante au moment de l’enquête, 2,8% sont enceintes de leur premier enfant et 8% ont déjà commencé leur vie procréative.
Selon le document, l’entrée dans la vie procréative est deux fois plus élevée chez les adolescentes du milieu rural. En effet, quelle que soit la modalité considérée, les adolescentes du milieu rural sont toujours surreprésentées par rapport à leurs homologues du milieu
urbain.
Au moment de l’enquête chez les adolescentes âgées de 15-19 ans, celles résidant dans le milieu urbain qui ont une naissance vivante représentent 7,8% contre 17,2% pour celles résidant dans le milieu rural. Les jeunes filles qui sont enceintes de leur premier enfant
représentent 2,6% chez les adolescentes du milieu urbain et 5% chez leurs homologues résidant dans le milieu rural.
Adou FAYE
modalités, nous constatons une évolution ascendante avec l’âge.
Pour celles qui ont déjà une naissance vivante au moment de l’enquête, les adolescentes âgées de 19 ans constituent la proportion la plus élevée avec 28% et celles âgées de 15 ans la plus faible avec 1,1%. Les
adolescentes qui sont enceintes de leur premier enfant représentent 6,2% chez les jeunes femmes âgées de 19 ans et 4,6%, 4,3%, 3,4% et 0,7% respectivement chez celles âgées de 18, 17, 16 et 15 ans », lit-on dans le rapport.
Pour le groupe d’âge 15-17 ans, 5,1% ont une naissance vivante au moment de l’enquête, 2,8% sont enceintes de leur premier enfant et 8% ont déjà commencé leur vie procréative.
Selon le document, l’entrée dans la vie procréative est deux fois plus élevée chez les adolescentes du milieu rural. En effet, quelle que soit la modalité considérée, les adolescentes du milieu rural sont toujours surreprésentées par rapport à leurs homologues du milieu
urbain.
Au moment de l’enquête chez les adolescentes âgées de 15-19 ans, celles résidant dans le milieu urbain qui ont une naissance vivante représentent 7,8% contre 17,2% pour celles résidant dans le milieu rural. Les jeunes filles qui sont enceintes de leur premier enfant
représentent 2,6% chez les adolescentes du milieu urbain et 5% chez leurs homologues résidant dans le milieu rural.
Adou FAYE