
Cette progression reste toutefois en deçà de celle relevée en 2017, soit 38,5%. Selon la Bceao qui donne l’information, la Cote d’Ivoire détient 37,4% des comptes de monnaie électronique ouverts dans l’Union, suivie du Burkina et du Bénin, avec respectivement des parts de 15,2% et 14,1%.
«Les Eme totalisent 55,9% de monnaie électronique ouverts dans l’Union en 2018, contre 63,0% un an plus tôt. Les 4 filiales du Groupe Orange et les 2 filiales de Mtn se partagent respectivement 32,5% et 21,2% des parts de marché. Le reste des parts est détenu par Mobile Cash (2,1%) et Qash Services (0,1%) », renseigne la Bceao.
Elle a expliqué que le regain d’activité observé auprès des institutions de crédit, s’est traduit au cours de la période sous revue, par la souscription de nouveaux clients à l’offre des services financiers, portant à 43,9%
la proportion de comptes de monnaie électronique détenue par les Banques contre environ 37% en 2017.
Le taux d’activité des utilisateurs dans l’Union ressort à 37,7% en 2018, en légère hausse de 1,0 point par rapport à son niveau de 2017. Cette évolution démontre une dynamique dans l’utilisation des services financiers numériques.
Oumar Nourou
«Les Eme totalisent 55,9% de monnaie électronique ouverts dans l’Union en 2018, contre 63,0% un an plus tôt. Les 4 filiales du Groupe Orange et les 2 filiales de Mtn se partagent respectivement 32,5% et 21,2% des parts de marché. Le reste des parts est détenu par Mobile Cash (2,1%) et Qash Services (0,1%) », renseigne la Bceao.
Elle a expliqué que le regain d’activité observé auprès des institutions de crédit, s’est traduit au cours de la période sous revue, par la souscription de nouveaux clients à l’offre des services financiers, portant à 43,9%
la proportion de comptes de monnaie électronique détenue par les Banques contre environ 37% en 2017.
Le taux d’activité des utilisateurs dans l’Union ressort à 37,7% en 2018, en légère hausse de 1,0 point par rapport à son niveau de 2017. Cette évolution démontre une dynamique dans l’utilisation des services financiers numériques.
Oumar Nourou