M. Malick Diop Consultant faisait la restitution d’une étude de recherche-action sur la perception des populations sur ces corps de l’Etat. Il intervenait à l’occasion d’un atelier d’interpellation citoyenne des corps de contrôle et de régulation de l’Etat organisé par la (PFANE), une structure faitière qui regroupe plusieurs organisations syndicales et des organisations de la société civile. « La tendance lourde et constante est que 48% à 53% des réponses « ne sait pas », s’est dégagée tout au long des résultats de l’étude », a ajouté M. Diop
Interpellé par l’assistance sur la méconnaissance de son institution, M. Joseph Ndour le représentant de la cour des comptes reconnait que « nous ne communiquons pas suffisamment car nous avons des temps forts de communication que nous utilisons ». Selon lui, c’est lors de la remise des rapports publics au Président de la République et au président de l’Assemblée Nationale. Selon toujours M. Ndour la cour des comptes met sur son portail tous ses rapports publics.
En tout état de cause, M. Mamadou Faye le président de la PFANE est d’avis que sa structure mène un contrôle permanent et de veille par rapport aux bonnes pratiques. « Nous sommes de ceux-là qui pensent qu’on ne peut pas faire une bonne politique sans impliquer les populations à la base pour qui ces politiques sont élaborées ».
El Hadj Diakhaté
Interpellé par l’assistance sur la méconnaissance de son institution, M. Joseph Ndour le représentant de la cour des comptes reconnait que « nous ne communiquons pas suffisamment car nous avons des temps forts de communication que nous utilisons ». Selon lui, c’est lors de la remise des rapports publics au Président de la République et au président de l’Assemblée Nationale. Selon toujours M. Ndour la cour des comptes met sur son portail tous ses rapports publics.
En tout état de cause, M. Mamadou Faye le président de la PFANE est d’avis que sa structure mène un contrôle permanent et de veille par rapport aux bonnes pratiques. « Nous sommes de ceux-là qui pensent qu’on ne peut pas faire une bonne politique sans impliquer les populations à la base pour qui ces politiques sont élaborées ».
El Hadj Diakhaté