Interrogé par Bloomberg sur les raisons de cet investissement, le dirigeant a répondu : « L’Ethiopie dispose du plus grand cheptel du continent, dans un contexte où la demande continue de s’accroître. De plus, même si certaines pratiques relatives à l’élevage gagneraient à être améliorées, l’absence d’hormones de croissance dans l’alimentation du bétail constitue un avantage car la qualité de la viande produite ici est très bonne».
Selon les données de l’Agence Ethiopienne pour la transformation agricole (EATA), la contribution de l’élevage au produit intérieur brut (PIB) du pays, varie de 15 à 17%. Si les exportations légales génèrent annuellement environ 150 millions de dollars, l’activité illégale elle, rapporte environ le double, précise l’agence.
Un constat qui fait dire à M. Khan que le gouvernement du pays devrait s’investir dans l’industrie de la viande de façon plus dynamique, surtout au vu de la rude compétition qui prévaut dans ce secteur. «Le manque de travailleurs qualifiés, les infrastructures de transports inadéquates et les difficultés constatées dans le système de la chaîne de froid devraient faire l’objet d’une attention particulière», indique-t-il.
Ecofin
Selon les données de l’Agence Ethiopienne pour la transformation agricole (EATA), la contribution de l’élevage au produit intérieur brut (PIB) du pays, varie de 15 à 17%. Si les exportations légales génèrent annuellement environ 150 millions de dollars, l’activité illégale elle, rapporte environ le double, précise l’agence.
Un constat qui fait dire à M. Khan que le gouvernement du pays devrait s’investir dans l’industrie de la viande de façon plus dynamique, surtout au vu de la rude compétition qui prévaut dans ce secteur. «Le manque de travailleurs qualifiés, les infrastructures de transports inadéquates et les difficultés constatées dans le système de la chaîne de froid devraient faire l’objet d’une attention particulière», indique-t-il.
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