Organisée par l’Ancar (Agence nationale de conseil agricole et rural), en partenariat avec l’Ita, cette rencontre de deux jours a permis à la directrice générale de ladite agence, Mariama Dramé, d’effectuer, auparavant, des visites dans des unités de transformation artisanale d’huile à Dya (région de Kaolack), Diossong (région de Fatick) et Mbirkilane (région de Kaffrine) pour rappeler les effets nocifs de l’aflatoxine, substance cancérigène contenue dans l’huile d’arachide non traitée.
Selon la Directrice de l’Ancar, cet atelier de mise en place d’un réseau des femmes transformatrices bénéficiaires des tables de traitement d’huile «seggal» vise à pérenniser les acquis du projet de diffusion à grande échelle d’une technologie qui est en train d’améliorer les procédés de transformation artisanale de l’arachide. En effet, une fois installé sous forme d’une coopérative, le réseau sera la voix officielle de ces femmes auprès des partenaires (les services techniques, l’administration, le privé et les bailleurs de fonds) et pourra, ainsi, capter des fonds aidant à la mise en place de centrales d’achat et à la création d’un label « qualité » de l’huile traitée.
Selon la même source, ayant constaté que l’activité de transformation de l’arachide, notamment celle de trituration, en milieu rural, est essentiellement dévolue aux femmes, l’Ancar, en partenariat avec l’Institut de technologie alimentaire (ITA), a pris l’initiative, en tant qu’agence de conseil, de mobiliser les femmes bénéficiaires des tables de traitement d’huile afin qu’elles puissent trouver les voies et moyens d’assurer leur développement. Faisant partie des mesures de pérennisation de ce projet, cet atelier a accueilli, pendant deux jours, plus de quatre-vingt présidentes de groupements bénéficiaires de ces unités de transformation.
Pathé TOURE
Selon la Directrice de l’Ancar, cet atelier de mise en place d’un réseau des femmes transformatrices bénéficiaires des tables de traitement d’huile «seggal» vise à pérenniser les acquis du projet de diffusion à grande échelle d’une technologie qui est en train d’améliorer les procédés de transformation artisanale de l’arachide. En effet, une fois installé sous forme d’une coopérative, le réseau sera la voix officielle de ces femmes auprès des partenaires (les services techniques, l’administration, le privé et les bailleurs de fonds) et pourra, ainsi, capter des fonds aidant à la mise en place de centrales d’achat et à la création d’un label « qualité » de l’huile traitée.
Selon la même source, ayant constaté que l’activité de transformation de l’arachide, notamment celle de trituration, en milieu rural, est essentiellement dévolue aux femmes, l’Ancar, en partenariat avec l’Institut de technologie alimentaire (ITA), a pris l’initiative, en tant qu’agence de conseil, de mobiliser les femmes bénéficiaires des tables de traitement d’huile afin qu’elles puissent trouver les voies et moyens d’assurer leur développement. Faisant partie des mesures de pérennisation de ce projet, cet atelier a accueilli, pendant deux jours, plus de quatre-vingt présidentes de groupements bénéficiaires de ces unités de transformation.
Pathé TOURE