Cette progression, explique M. Diop, est soutenue notamment, par la vigueur des industries extractives. Le taux d’inflation pourrait se situer autour de 3,0% en 2025, sous l’effet de la hausse attendue de la production de la campagne agricole 2024/2025 et de la poursuite de la décrue des prix des produits alimentaires et énergétiques importés.
Il a indiqué que le déficit budgétaire global représenterait 3,7% du Pib, en lien avec le renforcement de la mobilisation des recettes (+14,2%) comparativement à la hausse des dépenses (+6,6%).
Le taux de pression fiscale se situerait à 15,0%. Abdoulaye Diop informe que la consolidation budgétaire serait effective dans cinq Etats membres au 31 décembre 2025.
«Le taux d’endettement se situerait à 63,0% contre 64,8% en 2024, en dessous du plafond de 70% dans six Etats membres. Au titre des échanges extérieurs, le déficit courant ressortirait à 3,5% du Pib en 2025 contre 5,9% une année plus tôt, en raison d’une évolution favorable de la balance des biens », a détaillé le président de la Commission de l’Uemoa.
Les échanges intra-Uemoa représenteraient un peu plus de 16,0% des échanges totaux de l'Union. La masse monétaire augmenterait de 12,7%, portée par les créances intérieures (+10,5%) et la consolidation attendue se situerait à 2 623,4 milliards des actifs extérieurs nets.
Adou Faye
Il a indiqué que le déficit budgétaire global représenterait 3,7% du Pib, en lien avec le renforcement de la mobilisation des recettes (+14,2%) comparativement à la hausse des dépenses (+6,6%).
Le taux de pression fiscale se situerait à 15,0%. Abdoulaye Diop informe que la consolidation budgétaire serait effective dans cinq Etats membres au 31 décembre 2025.
«Le taux d’endettement se situerait à 63,0% contre 64,8% en 2024, en dessous du plafond de 70% dans six Etats membres. Au titre des échanges extérieurs, le déficit courant ressortirait à 3,5% du Pib en 2025 contre 5,9% une année plus tôt, en raison d’une évolution favorable de la balance des biens », a détaillé le président de la Commission de l’Uemoa.
Les échanges intra-Uemoa représenteraient un peu plus de 16,0% des échanges totaux de l'Union. La masse monétaire augmenterait de 12,7%, portée par les créances intérieures (+10,5%) et la consolidation attendue se situerait à 2 623,4 milliards des actifs extérieurs nets.
Adou Faye