
C’est parce que la question des états civils est un véritable problème que des experts et administrateurs d'une vingtaine de pays africains francophones entendent prendre le taureau par les cornes. D’ailleurs, ils viennent de boucler cinq jours leurs travaux sur l'amélioration des systèmes d'enregistrement des faits et des statistiques de l'état civil avec une promesse d'engager leurs administrations respectives pour une mise en œuvre rapide du Programme africain pour l'Amélioration Accélérée des Systèmes d'Enregistrement des Faits et des Statistiques de l'Etat Civil (APAI-CRVS ).
Organisé par le Groupe régional sur APAI-CRVS constitué entre autres par la Commission Economique des Nations Unies pour l'Afrique (CEA), la Commission de l'Union Africaine (CUA), la Banque Africaine de Développement (BAD), le Fonds des Nations Unies pour l'Enfance (UNICEF), le Fonds des Nations Unies en matière de Population (UNFPA) et le Haut-Commissariat aux Réfugiés (HCR), l'atelier a servi, selon un communiqué, de plateforme d'échanges pour encourager les pays francophones à rattraper le retard accusé dans le domaine par rapport aux autres pays du continent.
Selon toujours le communiqué, les travaux, caractérisés par d'échanges d'expériences des différents pays, ont permis aux experts de s'accorder, entres autres, sur la nécessité de moderniser les systèmes d'enregistrement des faits et des statistiques de l'état civil dans leurs pays respectifs à travers le renforcement de la coordination entre tous les acteurs nationaux impliqués, l'informatisation des procédures d'enregistrement et d'établissement des actes, et l'harmonisation à l'échelle régionale des nouveaux systèmes éventuels.
Pathé TOURE
Organisé par le Groupe régional sur APAI-CRVS constitué entre autres par la Commission Economique des Nations Unies pour l'Afrique (CEA), la Commission de l'Union Africaine (CUA), la Banque Africaine de Développement (BAD), le Fonds des Nations Unies pour l'Enfance (UNICEF), le Fonds des Nations Unies en matière de Population (UNFPA) et le Haut-Commissariat aux Réfugiés (HCR), l'atelier a servi, selon un communiqué, de plateforme d'échanges pour encourager les pays francophones à rattraper le retard accusé dans le domaine par rapport aux autres pays du continent.
Selon toujours le communiqué, les travaux, caractérisés par d'échanges d'expériences des différents pays, ont permis aux experts de s'accorder, entres autres, sur la nécessité de moderniser les systèmes d'enregistrement des faits et des statistiques de l'état civil dans leurs pays respectifs à travers le renforcement de la coordination entre tous les acteurs nationaux impliqués, l'informatisation des procédures d'enregistrement et d'établissement des actes, et l'harmonisation à l'échelle régionale des nouveaux systèmes éventuels.
Pathé TOURE