Les vicissitudes pourtant traversées par le pays sont connues et tragiques. Elles auraient pu hypothéquer la confiance des investisseurs. Il n'empêche ! Un investissement public plus performant, une stabilité macro-économique confirmée, un développement extraordinaire et soutenu du secteur tertiaire font que le Mali est, année après année, au rendez-vous de la croissance et du progrès économique.
Avec une superficie de 1 240 000 Km² et une population estimée à 15,3 millions d’habitants en 2013, ce pays que l’on appelait avant les indépendances le Soudan Français a récemment connu une légère progression au classement Doing Business 2017. Il se positionne désormais à la 141ème place. Un gain de deux places par rapport à 2016, résultat de la mise en œuvre de réformes visant notamment l’amélioration du cadre d’affaires. Ces réformes ont permis d’améliorer la santé financière de ce pays dont les experts décrivent les perspectives macroéconomiques à moyen terme comme étant bonnes.
Malgré une légère baisse par rapport à l’année 2015, le taux de croissance du PIB ressort à 5,4 % sur l’année 2016 - il était de 6% en 2015 - grâce à une économie libéralisée. Un fléchissement dû aux contre-performances du secteur agricole qui est dépendant des aléas climatiques, mais aussi à la situation sécuritaire et politique.
Pathé TOURE
Avec une superficie de 1 240 000 Km² et une population estimée à 15,3 millions d’habitants en 2013, ce pays que l’on appelait avant les indépendances le Soudan Français a récemment connu une légère progression au classement Doing Business 2017. Il se positionne désormais à la 141ème place. Un gain de deux places par rapport à 2016, résultat de la mise en œuvre de réformes visant notamment l’amélioration du cadre d’affaires. Ces réformes ont permis d’améliorer la santé financière de ce pays dont les experts décrivent les perspectives macroéconomiques à moyen terme comme étant bonnes.
Malgré une légère baisse par rapport à l’année 2015, le taux de croissance du PIB ressort à 5,4 % sur l’année 2016 - il était de 6% en 2015 - grâce à une économie libéralisée. Un fléchissement dû aux contre-performances du secteur agricole qui est dépendant des aléas climatiques, mais aussi à la situation sécuritaire et politique.
Pathé TOURE