«Le don provenant du Fad, d’un montant de 17,3 millions d’euros, et celui du Fat de 6,1millions d’euros, contribueront au financement de la phase 1 du projet de Développement du Corridor de Transport sur le Lac Tanganyika: elle concerne la rénovation du port de Bujumbura.
Les accords ont été paraphés par le ministre burundais des Finances, du Budget et de la Coopération au développement économique, Domitien Ndihokubwayo,et par le responsable pays de la Bad au Burundi, Daniel Ndoye. Etaient présents à cette cérémonie le ministre des Transports, des Travaux Publics, de l’Équipement et de l’Aménagement du Territoire Ntunzwenimana Jean Bosco, et le chef de la délégation de l’Union européenne (UE) au Burundi, Claude Bochu,co-financeur du projet », renseigne un communiqué de la Bad reçu au Journal de l’économie sénégalaise (Lejecos).
Ce projet, précise-t-on, co-financé par le gouvernement burundais et la Bad, bénéficie également d’un don de 19,7 millions d’Euros de l’Union Européenne, qui doit être signé prochainement. Ce projet est particulièrement important pour le Burundi à plusieurs titres : il vise à désenclaver le pays, à accroître la capacité et l'efficacité du port de Bujumbura afin d'améliorer la connectivité régionale ; il entend développer le commerce régional le long du corridor intégré du Lac Tanganyika etson interconnexion avec les corridors commerciaux régionaux existants ; il va contribuer ainsi à stimuler la croissance économique et améliorer le bien-être des populations au Burundi, selon Domitien Ndihokubwayo, qui a tenu à saluer le soutien de la Bad.
Le ministre des Finances, du Budget et de la Coopération au développement économique du Burundi, a souligné également le rôle important que joue déjà la Banque dans le secteur des transports au Burundi, indiquant que le projet offrait un réel potentiel de développement des échanges interrégionaux.
Daniel Ndoye s’est réjoui de la « bonne collaboration qui a prévalu, pour conclure ces accords, entre le Burundi, la Banque et l’Union européenne. La Banque est disponible pour continuer à accompagner, sur les plans financier et technique, le développement du secteur des transports au Burundi », conformément aux priorités stratégiques de la Banque, les « High5 », et de son Document de stratégie-pays (Dsp 2019-2023).
Stefan Nalletamby, vice-président par intérim de la Banque, en charge du secteur privé, de l’infrastructure et de l’industrialisation, a salué la signature de ces accords de dons et a indiqué que le projet participerait au renforcement de l’intégration régionale à laquelle la Banque contribue activement.
Adou Faye
Les accords ont été paraphés par le ministre burundais des Finances, du Budget et de la Coopération au développement économique, Domitien Ndihokubwayo,et par le responsable pays de la Bad au Burundi, Daniel Ndoye. Etaient présents à cette cérémonie le ministre des Transports, des Travaux Publics, de l’Équipement et de l’Aménagement du Territoire Ntunzwenimana Jean Bosco, et le chef de la délégation de l’Union européenne (UE) au Burundi, Claude Bochu,co-financeur du projet », renseigne un communiqué de la Bad reçu au Journal de l’économie sénégalaise (Lejecos).
Ce projet, précise-t-on, co-financé par le gouvernement burundais et la Bad, bénéficie également d’un don de 19,7 millions d’Euros de l’Union Européenne, qui doit être signé prochainement. Ce projet est particulièrement important pour le Burundi à plusieurs titres : il vise à désenclaver le pays, à accroître la capacité et l'efficacité du port de Bujumbura afin d'améliorer la connectivité régionale ; il entend développer le commerce régional le long du corridor intégré du Lac Tanganyika etson interconnexion avec les corridors commerciaux régionaux existants ; il va contribuer ainsi à stimuler la croissance économique et améliorer le bien-être des populations au Burundi, selon Domitien Ndihokubwayo, qui a tenu à saluer le soutien de la Bad.
Le ministre des Finances, du Budget et de la Coopération au développement économique du Burundi, a souligné également le rôle important que joue déjà la Banque dans le secteur des transports au Burundi, indiquant que le projet offrait un réel potentiel de développement des échanges interrégionaux.
Daniel Ndoye s’est réjoui de la « bonne collaboration qui a prévalu, pour conclure ces accords, entre le Burundi, la Banque et l’Union européenne. La Banque est disponible pour continuer à accompagner, sur les plans financier et technique, le développement du secteur des transports au Burundi », conformément aux priorités stratégiques de la Banque, les « High5 », et de son Document de stratégie-pays (Dsp 2019-2023).
Stefan Nalletamby, vice-président par intérim de la Banque, en charge du secteur privé, de l’infrastructure et de l’industrialisation, a salué la signature de ces accords de dons et a indiqué que le projet participerait au renforcement de l’intégration régionale à laquelle la Banque contribue activement.
Adou Faye