
Coupure du ruban lors de l'inauguration de l'Agence Auxiliaire de la BCEAO à Odienné par le Vice Président de la Côte d'Ivoire Tiémoko Meyliet KONE
Une infrastructure ultramoderne
Le site abritant l’agence auxiliaire de la BCEAO s’étend sur une superficie de 2.7 hectares. Le bâtiment principal, de 3 niveaux (R+2) dispose d’une superficie de 4696 m². Il bénéficie d’une ventilation naturelle optimisée. En façade, il dispose de brise-soleil. Ce qui permet de réduire l’effet de l’ensoleillement direct pour un confort thermique à l’intérieur des pièces de l’édifice. Il est doté d’équipements à haute efficacité énergétique et d’une centrale solaire à injection directe.
Plus qu’un lieu de travail, cette agence auxiliaire est une base de vie. Notamment, avec un cabinet médical, un restaurant, un gymnase, un poste de police, de contrôle des accès et des fourgons. La partie dédiée aux habitations abrite 2 villas de type R+1. Une pour le chef d’agence. L’autre sert de résidence de passage.
Ce que gagne Odienné
Pour la maire de la ville hôte, « c’est une nouvelle page de l’histoire d’Odienné qui s’écrit avec l’inauguration de l’agence auxiliaire de la BCEAO (…) ». Nassénéba Touré (ministre de la Femme, de la famille et de l’enfant) reste convaincue que « cette implantation facilitera l’accès d’Odienné et du District du Denguélé tout entier aux services financiers modernes, soutiendra le dynamisme économique local et offrira de nouvelles opportunités d’emploi aux jeunes. Que ce soit en qualité d’agents de la Banque, de prestataires de services, ou dans les métiers liés à la propreté pour le bon fonctionnement de l’agence ».
Le gouverneur de la Banque centrale partage le même optimisme. « Le choix de la ville d’Odienné pour abriter cette 7e agence auxiliaire de la BCEAO en Côte d’Ivoire ne doit rien au hasard. Il s’inscrit dans la vision de la Banque d’étendre son réseau dans le but de rapprocher les services bancaires des populations, d’améliorer la circulation des billets et pièces et de renforcer l’inclusion financière dans toutes les régions de l’Union [Union monétaire ouest-africaine, NDLR] », selon Jean-Claude Kassi Brou. Et monsieur le gouverneur d’ajouter : « Odienné, chef-lieu de la région Kabadougou, offre de réelles perspectives de croissance économique portées principalement par l’agriculture, l’agro-industrie et le commerce ».
Ainsi, avec une production de près de 113.000 tonnes de noix de cajou, pour laquelle la Côte d’Ivoire occupe le premier rang mondial, la région du Kabadougou a contribué, à hauteur de 10%, à la production nationale. Cette vitalité est soutenue également par une agro-industrie en plein développement, avec l’implantation de plusieurs unités agro-industrielles importantes telles que SITA, COFRUNO, BIOSEMOULE et, récemment, ECOCAJOU. D’où la nécessité de rapprocher les services de la Banque centrale des populations et des acteurs du système bancaire.
L’agence auxiliaire d’Odienné répond à un autre souci. Non des moindres. Elle « contribuera à réduire les risques sécuritaires inhérents aux activités de convoyage de fonds dans la cette partie de la Côte d’Ivoire », explique Jean-Claude Kassi Brou. Le ministre des Finances et du budget, Adama Coulibaly, a abondé dans le même sens.
OSSÈNE OUATTARA, envoyé spécial à Odienné
Le site abritant l’agence auxiliaire de la BCEAO s’étend sur une superficie de 2.7 hectares. Le bâtiment principal, de 3 niveaux (R+2) dispose d’une superficie de 4696 m². Il bénéficie d’une ventilation naturelle optimisée. En façade, il dispose de brise-soleil. Ce qui permet de réduire l’effet de l’ensoleillement direct pour un confort thermique à l’intérieur des pièces de l’édifice. Il est doté d’équipements à haute efficacité énergétique et d’une centrale solaire à injection directe.
Plus qu’un lieu de travail, cette agence auxiliaire est une base de vie. Notamment, avec un cabinet médical, un restaurant, un gymnase, un poste de police, de contrôle des accès et des fourgons. La partie dédiée aux habitations abrite 2 villas de type R+1. Une pour le chef d’agence. L’autre sert de résidence de passage.
Ce que gagne Odienné
Pour la maire de la ville hôte, « c’est une nouvelle page de l’histoire d’Odienné qui s’écrit avec l’inauguration de l’agence auxiliaire de la BCEAO (…) ». Nassénéba Touré (ministre de la Femme, de la famille et de l’enfant) reste convaincue que « cette implantation facilitera l’accès d’Odienné et du District du Denguélé tout entier aux services financiers modernes, soutiendra le dynamisme économique local et offrira de nouvelles opportunités d’emploi aux jeunes. Que ce soit en qualité d’agents de la Banque, de prestataires de services, ou dans les métiers liés à la propreté pour le bon fonctionnement de l’agence ».
Le gouverneur de la Banque centrale partage le même optimisme. « Le choix de la ville d’Odienné pour abriter cette 7e agence auxiliaire de la BCEAO en Côte d’Ivoire ne doit rien au hasard. Il s’inscrit dans la vision de la Banque d’étendre son réseau dans le but de rapprocher les services bancaires des populations, d’améliorer la circulation des billets et pièces et de renforcer l’inclusion financière dans toutes les régions de l’Union [Union monétaire ouest-africaine, NDLR] », selon Jean-Claude Kassi Brou. Et monsieur le gouverneur d’ajouter : « Odienné, chef-lieu de la région Kabadougou, offre de réelles perspectives de croissance économique portées principalement par l’agriculture, l’agro-industrie et le commerce ».
Ainsi, avec une production de près de 113.000 tonnes de noix de cajou, pour laquelle la Côte d’Ivoire occupe le premier rang mondial, la région du Kabadougou a contribué, à hauteur de 10%, à la production nationale. Cette vitalité est soutenue également par une agro-industrie en plein développement, avec l’implantation de plusieurs unités agro-industrielles importantes telles que SITA, COFRUNO, BIOSEMOULE et, récemment, ECOCAJOU. D’où la nécessité de rapprocher les services de la Banque centrale des populations et des acteurs du système bancaire.
L’agence auxiliaire d’Odienné répond à un autre souci. Non des moindres. Elle « contribuera à réduire les risques sécuritaires inhérents aux activités de convoyage de fonds dans la cette partie de la Côte d’Ivoire », explique Jean-Claude Kassi Brou. Le ministre des Finances et du budget, Adama Coulibaly, a abondé dans le même sens.
OSSÈNE OUATTARA, envoyé spécial à Odienné