
En effet, sans la sécurité, il n’y a pas de droits de l’homme. De même, toute politique de sécurité doit être bâtie autour du respect des droits fondamentaux de l’homme.
Pour Mankeur Ndiaye, le Conseil des droits de l’homme doit aussi se pencher sur cet aspect au nom de la lutte contre l’impunité et de la responsabilité de protéger. Mais, pour atteindre ce but, les Etats doivent faire en sorte que le Conseil puisse remplir efficacement sur le terrain le mandat que nous lui avons confié, sur la base des principes convenus d’interdépendance, d’universalité et d’indivisibilité des droits de l’homme. C’est l’occasion aussi pour le Sénégal de réaffirmer devant la Communauté internationale notre attachement indéfectible à la Cour Pénale Internationale.
A ce sujet, il semble important d’agir sur deux leviers : d’une part, faire preuve de plus de volontarisme politique pour aider le Conseil à mettre en œuvre les résolutions adoptées et, d’autre part, renforcer les moyens budgétaires du Conseil et du Haut-Commissariat aux droits de l’homme.
«En dix ans d’existence, le Conseil a connu un réel succès en matière de promotion et de défense des droits de l’homme partout dans le monde», souligne Mankeur Ndiaye.
Pathé TOURE
Pour Mankeur Ndiaye, le Conseil des droits de l’homme doit aussi se pencher sur cet aspect au nom de la lutte contre l’impunité et de la responsabilité de protéger. Mais, pour atteindre ce but, les Etats doivent faire en sorte que le Conseil puisse remplir efficacement sur le terrain le mandat que nous lui avons confié, sur la base des principes convenus d’interdépendance, d’universalité et d’indivisibilité des droits de l’homme. C’est l’occasion aussi pour le Sénégal de réaffirmer devant la Communauté internationale notre attachement indéfectible à la Cour Pénale Internationale.
A ce sujet, il semble important d’agir sur deux leviers : d’une part, faire preuve de plus de volontarisme politique pour aider le Conseil à mettre en œuvre les résolutions adoptées et, d’autre part, renforcer les moyens budgétaires du Conseil et du Haut-Commissariat aux droits de l’homme.
«En dix ans d’existence, le Conseil a connu un réel succès en matière de promotion et de défense des droits de l’homme partout dans le monde», souligne Mankeur Ndiaye.
Pathé TOURE