Ce n’est plus un secret de polichinelle, mais les femmes et les communautés rurales ont souffert le plus de l'exclusion des personnes en Afrique Australe. En tout cas, c’est le constat dressé par l'Indice de Développement Social de l'Afrique (IDSA) dont les résultats préliminaires révèlent que l'exclusion humaine est principalement un phénomène féminin et rural.
D’après le rapport, on apprend que les femmes et les filles sont touchées par des vulnérabilités différentes de leurs homologues masculins qui affectent gravement leur développement futur et leur capacité de participer aux processus sociaux, économiques et de prise de décision. De même, le rapport révèle également des niveaux plus élevés d'exclusion humaine dans les zones rurales Ainsi, les motifs d'exclusion sont également influencés par l'emplacement géographique dans lequel un individu est né, souligne le rapport. Qui ajoute que les gens dans les zones rurales manquent de l'infrastructure sociale et économique de base et des services de base "qui leur permettrait de développer leur plein potentiel.
Le rapport ISDA pour l'Afrique Australe survole huit pays, dont l'Angola, le Botswana, le Malawi, l'Ile Maurice, la Namibie, le Swaziland, le Zimbabwe et la Zambie. Il existe des différences entre les pays et au sein des pays. L'exclusion humaine est définie comme étant le résultat de barrières sociales, économiques, politiques, institutionnelles et culturelles qui se manifestent dans des conditions humaines démunies et qui limitent la capacité des individus de bénéficier et de contribuer à la croissance économique.
L'ISDA est un nouvel outil développé par la Commission Economique des Nations Unies pour l'Afrique -CEA pour aider les États membres à suivre et à mesurer l'exclusion humaine pour la transformation structurelle.
Pathé TOURE
D’après le rapport, on apprend que les femmes et les filles sont touchées par des vulnérabilités différentes de leurs homologues masculins qui affectent gravement leur développement futur et leur capacité de participer aux processus sociaux, économiques et de prise de décision. De même, le rapport révèle également des niveaux plus élevés d'exclusion humaine dans les zones rurales Ainsi, les motifs d'exclusion sont également influencés par l'emplacement géographique dans lequel un individu est né, souligne le rapport. Qui ajoute que les gens dans les zones rurales manquent de l'infrastructure sociale et économique de base et des services de base "qui leur permettrait de développer leur plein potentiel.
Le rapport ISDA pour l'Afrique Australe survole huit pays, dont l'Angola, le Botswana, le Malawi, l'Ile Maurice, la Namibie, le Swaziland, le Zimbabwe et la Zambie. Il existe des différences entre les pays et au sein des pays. L'exclusion humaine est définie comme étant le résultat de barrières sociales, économiques, politiques, institutionnelles et culturelles qui se manifestent dans des conditions humaines démunies et qui limitent la capacité des individus de bénéficier et de contribuer à la croissance économique.
L'ISDA est un nouvel outil développé par la Commission Economique des Nations Unies pour l'Afrique -CEA pour aider les États membres à suivre et à mesurer l'exclusion humaine pour la transformation structurelle.
Pathé TOURE