Ledit centre note en effet que tous les gouvernements ont pris des mesures rapides pour faire face à la pandémie, y compris des mesures de relance financière et de soutien, et il y a eu une grande solidarité entre les pays et entre les communautés, la profession médicale et la communauté scientifique avec le partage et le soutien transfrontalier des données.
Ainsi, à l’instar de ces actions, le document indique que « a riposte mondiale à la lutte contre le changement climatique et à la construction d’économies et de sociétés plus résilientes dépendra en grande partie de la manière dont les pays prendront également des mesures rapides et transformatrices pour combler le déficit de financement aux fins de lutte contre le changement climatique ».
Cela, renseigne-t-il, d’autant plus que les Contributions déterminées au niveau national à l’action climatique (Cdn) de la plupart des pays africains dépendent dans une large mesure de la disponibilité des financements climatiques et les pays africains disposent déjà de moins d’espace budgétaire pour être en mesure de relancer leur économie.
« Alors qu’à court terme les pays développés peuvent être contraints de s’acquitter de leurs obligations de financement climatique en vertu de l’Accord de Paris, des moyens innovants doivent être explorés pour garantir que l’action sur le changement climatique ne fléchisse pas après la pandémie de Covid-19 », défend le Centre africain pour la politique en matière de climat.
Bassirou MBAYE
Ainsi, à l’instar de ces actions, le document indique que « a riposte mondiale à la lutte contre le changement climatique et à la construction d’économies et de sociétés plus résilientes dépendra en grande partie de la manière dont les pays prendront également des mesures rapides et transformatrices pour combler le déficit de financement aux fins de lutte contre le changement climatique ».
Cela, renseigne-t-il, d’autant plus que les Contributions déterminées au niveau national à l’action climatique (Cdn) de la plupart des pays africains dépendent dans une large mesure de la disponibilité des financements climatiques et les pays africains disposent déjà de moins d’espace budgétaire pour être en mesure de relancer leur économie.
« Alors qu’à court terme les pays développés peuvent être contraints de s’acquitter de leurs obligations de financement climatique en vertu de l’Accord de Paris, des moyens innovants doivent être explorés pour garantir que l’action sur le changement climatique ne fléchisse pas après la pandémie de Covid-19 », défend le Centre africain pour la politique en matière de climat.
Bassirou MBAYE