
Viviane Bampassy, ministre de la fonction publique.
Elle s’exprimait lors la cérémonie d `ouverture de l’atelier de lancement officiel de la lettre de politiques sectorielles du ministère de la culture et de la communication .Elle était venue représenter son collègue le ministre de la culture et de la communication.
Selon le ministre de la fonction publique, « notre pays a adopté le document de programmation pluriannuel des dépenses (DPPD) qui planifie l’orientation budgétaire sur trois ans. En outre les directives communautaires de l’UEMOA donnent obligation au Sénégal de se conformer à une telle démarche pour tous les secteurs d’activités. »
Et Viviane Bampassy d’indiquer que « C’est en nous dotant d’une lettre de politique sectorielle (LPS) élaboré selon les standards que nous aurons un outil essentiel pour la mise en œuvre de notre politique, y compris dans la négociation avec les partenaires au plan bilatéral et multilatéral. C’est également par cette voie que nous pourrons mesurer de manière scientifique l’apport de nos secteurs à l’économie nationale et au développement économique et social en général ».
« C’est une forte volonté politique des plus hautes autorités visant l’efficacité et l’efficience de l’action publique et l’instauration d’une rupture dans les pratiques traditionnelles qui fondent, entre autres, le nouvel esprit dans lequel s’inscrit l’élaboration de la LPS » a-t-elle ajouté.
Le ministre de la fonction publique a tenu à préciser que la Lettre de Politiques Sectorielles n’est pas l’affaire unique de l’administration centrale mais bien de tout le secteur de la culture. Et que le gouvernement est conscient du rôle important que joue le secteur privé dans le rayonnement culturel de notre pays.
Fatou Blondin Cissé
Selon le ministre de la fonction publique, « notre pays a adopté le document de programmation pluriannuel des dépenses (DPPD) qui planifie l’orientation budgétaire sur trois ans. En outre les directives communautaires de l’UEMOA donnent obligation au Sénégal de se conformer à une telle démarche pour tous les secteurs d’activités. »
Et Viviane Bampassy d’indiquer que « C’est en nous dotant d’une lettre de politique sectorielle (LPS) élaboré selon les standards que nous aurons un outil essentiel pour la mise en œuvre de notre politique, y compris dans la négociation avec les partenaires au plan bilatéral et multilatéral. C’est également par cette voie que nous pourrons mesurer de manière scientifique l’apport de nos secteurs à l’économie nationale et au développement économique et social en général ».
« C’est une forte volonté politique des plus hautes autorités visant l’efficacité et l’efficience de l’action publique et l’instauration d’une rupture dans les pratiques traditionnelles qui fondent, entre autres, le nouvel esprit dans lequel s’inscrit l’élaboration de la LPS » a-t-elle ajouté.
Le ministre de la fonction publique a tenu à préciser que la Lettre de Politiques Sectorielles n’est pas l’affaire unique de l’administration centrale mais bien de tout le secteur de la culture. Et que le gouvernement est conscient du rôle important que joue le secteur privé dans le rayonnement culturel de notre pays.
Fatou Blondin Cissé