
« Le lancement de ces indices arrive idéalement, à un moment où les pays africains sont de plus en plus présents sur les marchés de capitaux domestiques qui deviennent des source de financements indispensables pour le développement économique. En fournissant des indices de référence transparentes et crédibles, l'AFMI, grâce à son travail avec la BAD et Bloomberg, fournira aux investisseurs un outil qui permet de mesurer et suivre la performance des marchés obligataires africains », a expliqué Stefan Nalletamby, le directeur en charge du développement du secteur financier à la BAD.
Pour ses débuts, l'indice va être constitué des titres obligataires souverains les plus liquides du continent, notamment celui de l’Afrique du sud, de l’Egypte et du Nigéria. Pour être inclus dans l'indice, un titre doit avoir au moins une année d’échéance restante et résister aux tests de stabilité des prix. D’autres marchés liquides devraient être ajoutés à l'index cette année.
Ce nouvel outil devrait être une aubaine pour les assureurs et les fonds de pensions africains, qui investissent une bonne part de capitaux sous leurs gestions dans des produits financiers à rendements fixes. Il devrait permettre d’avoir une meilleure visibilité sur les perspectives de retour sur investissement.
« Il y a un besoin évident de point de référence transparent et objectif, pour la dette souveraine en Afrique. Des indices bien conçus sont essentiels dans l'évaluation de la valeur sur les marchés, tout en contribuant à la liquidité, en offrant aux investisseurs les indices pour évaluer leur performance », a commenté sur ce sujet, David Tamburelli, le directeur chez Bloomberg, des produits pour les pays émergents
Ecofin
Pour ses débuts, l'indice va être constitué des titres obligataires souverains les plus liquides du continent, notamment celui de l’Afrique du sud, de l’Egypte et du Nigéria. Pour être inclus dans l'indice, un titre doit avoir au moins une année d’échéance restante et résister aux tests de stabilité des prix. D’autres marchés liquides devraient être ajoutés à l'index cette année.
Ce nouvel outil devrait être une aubaine pour les assureurs et les fonds de pensions africains, qui investissent une bonne part de capitaux sous leurs gestions dans des produits financiers à rendements fixes. Il devrait permettre d’avoir une meilleure visibilité sur les perspectives de retour sur investissement.
« Il y a un besoin évident de point de référence transparent et objectif, pour la dette souveraine en Afrique. Des indices bien conçus sont essentiels dans l'évaluation de la valeur sur les marchés, tout en contribuant à la liquidité, en offrant aux investisseurs les indices pour évaluer leur performance », a commenté sur ce sujet, David Tamburelli, le directeur chez Bloomberg, des produits pour les pays émergents
Ecofin