
L’opérateur chinois de télévision numérique, présent dans 10 pays du continent, investira 6,8 milliards de shillings, soit environ 78,8 millions de dollars américains. La cérémonie de pose de la première pierre du complexe a eu lieu le 14 juillet 2014 sur le site de Karen à Nairobi, la capitale kenyane. Le président de la multinationale, Pang Xinxing (photo), a assuré que l’ouvrage sera terminé d’ici la fin 2015. Il a expliqué que le Kenya où StarTimes est installé depuis 2009, est un marché propice pour un tel investissement.
« Depuis la création de nos opérations au Kenya, nous avons trouvé un environnement d'exploitation cordial, qui a facilité la croissance de notre entreprise. Les abonnés kenyans ont également montré un appétit insatiable pour le service numérique abordable de télévision ; ce qui a vu une absorption accrue de notre service qui s’est développé, nous incitant à installer nos activités africaines dans ce pays », a déclaré Pang Xinxing. En retour, le secrétaire du Cabinet aux Sports, des Arts et de la culture, Hassan Wario, a remercié StarTimes pour le choix porté sur le Kenya.
La cérémonie du 14 juillet dernier a été l’occasion de lancer le Beijing Television Series Exhibition, un évènement qui expose les meilleurs films et documentaires chinois aux médias et au public africains. Le but est de promouvoir le cinéma et une meilleure compréhension de la culture chinoise en Afrique. StarTimes a établi son réseau de télévision numérique dans 10 pays africains, à l’instar du Nigéria, la Rd Congo, le Kenya, l’Ouganda, la Tanzanie, le Rwanda, le Burundi, la Guinée et Madagascar.
StarTimes a souvent été dénoncé pour ses activités. Au Kenya, la justice a finalement interdit au groupe chinois de diffuser des chaînes sans l’autorisation des éditeurs dont certains s’étaient plaints. En Rd Congo, l’opérateur chinois a été dépossédé des fréquences qu’il utilisait illégalement selon les autorités. StarTimes a même été accusé d’avoir fait de la publicité mensongère sur ses activités en prétextant qu’il a basculé dans la Télévision numérique terrestre (Tnt).
On sait que la Tnt est un enjeu majeur pour la quasi-totalité des pays africains qui ont jusqu’au 15 juin 2015 pour complètement basculer au numérique, délai fixé par l’Union internationale des télécommunications.
Ecofin
« Depuis la création de nos opérations au Kenya, nous avons trouvé un environnement d'exploitation cordial, qui a facilité la croissance de notre entreprise. Les abonnés kenyans ont également montré un appétit insatiable pour le service numérique abordable de télévision ; ce qui a vu une absorption accrue de notre service qui s’est développé, nous incitant à installer nos activités africaines dans ce pays », a déclaré Pang Xinxing. En retour, le secrétaire du Cabinet aux Sports, des Arts et de la culture, Hassan Wario, a remercié StarTimes pour le choix porté sur le Kenya.
La cérémonie du 14 juillet dernier a été l’occasion de lancer le Beijing Television Series Exhibition, un évènement qui expose les meilleurs films et documentaires chinois aux médias et au public africains. Le but est de promouvoir le cinéma et une meilleure compréhension de la culture chinoise en Afrique. StarTimes a établi son réseau de télévision numérique dans 10 pays africains, à l’instar du Nigéria, la Rd Congo, le Kenya, l’Ouganda, la Tanzanie, le Rwanda, le Burundi, la Guinée et Madagascar.
StarTimes a souvent été dénoncé pour ses activités. Au Kenya, la justice a finalement interdit au groupe chinois de diffuser des chaînes sans l’autorisation des éditeurs dont certains s’étaient plaints. En Rd Congo, l’opérateur chinois a été dépossédé des fréquences qu’il utilisait illégalement selon les autorités. StarTimes a même été accusé d’avoir fait de la publicité mensongère sur ses activités en prétextant qu’il a basculé dans la Télévision numérique terrestre (Tnt).
On sait que la Tnt est un enjeu majeur pour la quasi-totalité des pays africains qui ont jusqu’au 15 juin 2015 pour complètement basculer au numérique, délai fixé par l’Union internationale des télécommunications.
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