chroniques
Philippe Barry président de l’initiative RSE Sénégal
Mais ce processus de déploiement de la RSE est irréversible car il est mondial et il répond à des objectifs de développement durable qui concernent la planète, a-t-il ajouté lors de la cérémonie d’ouverture de la 7 éme édition du forum international sur la RSE sur le thème « la RSE sous le regard croisé de femmes engagées dans le développement inclusif et durable du Sénégal.
Selon M .Barry, une entreprise quelque soit le secteur dans lequel elle évolue dans un pays développé ou au Sénégal, ne pourra survivre et se développer durablement sans prendre en compte progressivement cette dimension RSE à travers ses trois piliers : social, environnemental, sociétal.
Les entreprises qui auront anticipées ce mouvement mondial de la RSE seront assurément les plus compétitives et les plus durables a-t-il indiqué.
D’après le président de l’initiative RSE au Sénégal, les femmes pèsent d’un poids significatif dans l’économie nationale.
Elles représentent 70% de la force de travail en milieu rural où elles assurent prés de 80% des activités de transformation de la production agricole, 70% des actifs du secteur non structuré, 15% des effectifs du secteur public mais ne représente malheureusement que 4% des effectifs du secteur privé informel.
Il estime qu’au delà de ce constat se pose les problématiques plus globales du leadership des femmes, de la prise en compte du genre par les entreprises et les organisations, de l’autonomisation des femmes.
Ndeye Maguette Kébé
Selon M .Barry, une entreprise quelque soit le secteur dans lequel elle évolue dans un pays développé ou au Sénégal, ne pourra survivre et se développer durablement sans prendre en compte progressivement cette dimension RSE à travers ses trois piliers : social, environnemental, sociétal.
Les entreprises qui auront anticipées ce mouvement mondial de la RSE seront assurément les plus compétitives et les plus durables a-t-il indiqué.
D’après le président de l’initiative RSE au Sénégal, les femmes pèsent d’un poids significatif dans l’économie nationale.
Elles représentent 70% de la force de travail en milieu rural où elles assurent prés de 80% des activités de transformation de la production agricole, 70% des actifs du secteur non structuré, 15% des effectifs du secteur public mais ne représente malheureusement que 4% des effectifs du secteur privé informel.
Il estime qu’au delà de ce constat se pose les problématiques plus globales du leadership des femmes, de la prise en compte du genre par les entreprises et les organisations, de l’autonomisation des femmes.
Ndeye Maguette Kébé
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