La croissance n’est pas réductrice d’inégalités. Si on veut réduire les inégalités, il faut des actions concrètes a-t-il dit lors de la cérémonie d’ouverture de la 15eme édition des assises du Mouvement des Entreprises du Sénégal (MEDS) sur le thème « la RSE et la croissance inclusive ».
Selon Sidi Diop, la RSE a trois dimensions : économique, environnementale et sociale. Pour la dimension sociale, les entreprises en s’impliquant davantage dans la réduction des inégalités et le renforcement de la cohésion sociale permettent à l’entreprise elle-même et aux salariés de se sentir mieux et d’être plus productifs, à la croissance économique d’être renforcée .
Malheureusement aujourd’hui, La RSE est un concept nouveau et cela mettra un peu de temps pour que les entreprises puissent le saisir, a-t-il ajouté.
D’après le docteur en économie industrielle, la RSE est un concept volontaire, qu’il faudra des dispositifs qui permettent aux entreprises de l’intégrer parce qu’elle est positive pour l’ensemble de la population et pour les entreprises.
Poursuivant, le vice-président de Microeconomix suggère que les entreprises soient incitées fiscalement en mettant des dispositifs RSE. Elles doivent être sensibilisées pour qu’elles comprennent que la RSE n’est pas un concept vide afin de les persuader de mettre des fonds dans la RSE.
Ndeye Maguette Kebe
Selon Sidi Diop, la RSE a trois dimensions : économique, environnementale et sociale. Pour la dimension sociale, les entreprises en s’impliquant davantage dans la réduction des inégalités et le renforcement de la cohésion sociale permettent à l’entreprise elle-même et aux salariés de se sentir mieux et d’être plus productifs, à la croissance économique d’être renforcée .
Malheureusement aujourd’hui, La RSE est un concept nouveau et cela mettra un peu de temps pour que les entreprises puissent le saisir, a-t-il ajouté.
D’après le docteur en économie industrielle, la RSE est un concept volontaire, qu’il faudra des dispositifs qui permettent aux entreprises de l’intégrer parce qu’elle est positive pour l’ensemble de la population et pour les entreprises.
Poursuivant, le vice-président de Microeconomix suggère que les entreprises soient incitées fiscalement en mettant des dispositifs RSE. Elles doivent être sensibilisées pour qu’elles comprennent que la RSE n’est pas un concept vide afin de les persuader de mettre des fonds dans la RSE.
Ndeye Maguette Kebe