C’était ce lundi 25 novembre à Abidjan, en Côte D’Ivoire. Selon un programme reçu au Journal de l’économie sénégalaise (Lejecos), ce programme est la première phase d’une série de trois opérations, constituant un appui budgétaire programmatique qui couvre les exercices budgétaires de 2019, 2020 et 2021.
La même source précise que l’enveloppe de financement pour le Pamrer 1 est de 62,5 millions d’Euros soit 40,9 milliards de FCfa. «Le Pamrer-I présente le cadre pluriannuel du programme et prévoit une liste de réformes considérées comme des déclencheurs indicatifs pour la seconde phase (Pamrer-II) et la troisième phase (Pamrer-III).
Cet important programme est aligné sur le Pse (2014-2035) et à son plan d’action prioritaire II (2019-2023) », lit-on dans le document. Le Pamrer-I permettra une amélioration de l’administration de l’impôt mesuré par le score Doing Business passant de 48,08 points en 2018 à 50 points en 2022, un élargissement de l’assiette fiscale mesuré par une pression fiscale passant de 15,3% du PIB en 2018 à 20% en 2023, et un renforcement de l’attractivité du pays comme destination d'investissement mesuré par une hausse des Investissements Directs Etrangers (IDE) de 3% du PIB en 2018 à 6% en 2022.
Adou FAYE
La même source précise que l’enveloppe de financement pour le Pamrer 1 est de 62,5 millions d’Euros soit 40,9 milliards de FCfa. «Le Pamrer-I présente le cadre pluriannuel du programme et prévoit une liste de réformes considérées comme des déclencheurs indicatifs pour la seconde phase (Pamrer-II) et la troisième phase (Pamrer-III).
Cet important programme est aligné sur le Pse (2014-2035) et à son plan d’action prioritaire II (2019-2023) », lit-on dans le document. Le Pamrer-I permettra une amélioration de l’administration de l’impôt mesuré par le score Doing Business passant de 48,08 points en 2018 à 50 points en 2022, un élargissement de l’assiette fiscale mesuré par une pression fiscale passant de 15,3% du PIB en 2018 à 20% en 2023, et un renforcement de l’attractivité du pays comme destination d'investissement mesuré par une hausse des Investissements Directs Etrangers (IDE) de 3% du PIB en 2018 à 6% en 2022.
Adou FAYE