Ce projet sera mis en œuvre dans six pays pour un coût de 125 milliards et pour une durée de six ans, a dit Ibrahima Niang, le point focal du Sénégal où 20 milliards seront selon lui mobilisés.
Cet atelier zonal d’échanges et de partage de la zone Nord a été organisé pour une mise à niveau des participants sur les objectifs du projet, mais aussi afin de contribuer à la définition des zones d’intervention du projet et échanger sur le cadre des résultats proposé.
Le chef du service régional de l’élevage, Dr Youssou Ndiaye, a affirmé que la Banque mondiale a décidé de financer ce projet pour le pastoralisme à l’issue d’un atelier tenu en 2013 à Nouakchott (Mauritanie), une rencontre qui avait regroupé les six ministres de l’Elevage du Sahel.
Selon lui, ‘’ce programme a été confié au CILSS [Comité inter-États de lutte contre la sécheresse au Sahel] qui devra identifier un programme d’investissement composé d’un ensemble cohérent d’investissements stratégiques en collaboration avec les pays couverts’’.
Le CILSS œuvrera également à mettre en place un dispositif d’appui aux institutions nationales en mesure de soutenir ou contribuer efficacement au développement du pastoralisme dans la sous-région et de réformer les politiques en cours pour leur harmonisation.
APS
Cet atelier zonal d’échanges et de partage de la zone Nord a été organisé pour une mise à niveau des participants sur les objectifs du projet, mais aussi afin de contribuer à la définition des zones d’intervention du projet et échanger sur le cadre des résultats proposé.
Le chef du service régional de l’élevage, Dr Youssou Ndiaye, a affirmé que la Banque mondiale a décidé de financer ce projet pour le pastoralisme à l’issue d’un atelier tenu en 2013 à Nouakchott (Mauritanie), une rencontre qui avait regroupé les six ministres de l’Elevage du Sahel.
Selon lui, ‘’ce programme a été confié au CILSS [Comité inter-États de lutte contre la sécheresse au Sahel] qui devra identifier un programme d’investissement composé d’un ensemble cohérent d’investissements stratégiques en collaboration avec les pays couverts’’.
Le CILSS œuvrera également à mettre en place un dispositif d’appui aux institutions nationales en mesure de soutenir ou contribuer efficacement au développement du pastoralisme dans la sous-région et de réformer les politiques en cours pour leur harmonisation.
APS