M. Senghor s’exprimait lors d’un atelier national de formation en certification phytosanitaire des semences organisé par le CORAF, l’Institut du sahel et le ministère de l’agriculture et de l’équipement rural. « Ces cultures sont le riz, le maïs, le sorgho, le mil, l’arachide, la tomate, la pomme de terre, le manioc, l’igname, le niébé et l’oignon », laisse-t-il entendre.
Par ailleurs, Paul Senghor a soutenu que si les paysans utilisent des semences de qualité, ils augmenteraient de 30% leurs rendements agricoles.
« C’est dans ce sens que le programme semencier pour l’Afrique de l’Ouest (WASP), un projet porté par le CORAF en 2012, vise à accroitre la disponibilité en semences de qualité en passant du taux actuel de 12% à 25% au terme des cinq ans de vie du projet (2012-2017 », a encore affirmé le spécialiste en politique semencière.
Selon lui le WASP tente actuellement de faire en sorte que tous les pays de l’espace CEDEAO disposent des mêmes types de semences. « L’option d’une alliance semencière régionale présente l’avantage de partager les expériences, de mutualiser les moyens et de créer des synergies au sein de la sous-région pour obtenir des résultats nécessaires à l’atteinte des objectifs du projet », estime M. Senghor.
El Hadj Diakhaté
Par ailleurs, Paul Senghor a soutenu que si les paysans utilisent des semences de qualité, ils augmenteraient de 30% leurs rendements agricoles.
« C’est dans ce sens que le programme semencier pour l’Afrique de l’Ouest (WASP), un projet porté par le CORAF en 2012, vise à accroitre la disponibilité en semences de qualité en passant du taux actuel de 12% à 25% au terme des cinq ans de vie du projet (2012-2017 », a encore affirmé le spécialiste en politique semencière.
Selon lui le WASP tente actuellement de faire en sorte que tous les pays de l’espace CEDEAO disposent des mêmes types de semences. « L’option d’une alliance semencière régionale présente l’avantage de partager les expériences, de mutualiser les moyens et de créer des synergies au sein de la sous-région pour obtenir des résultats nécessaires à l’atteinte des objectifs du projet », estime M. Senghor.
El Hadj Diakhaté