chroniques
Les États-Unis ont un profond intérêt en une Afrique pacifique et prospère, et la Millennium Challenge Corporation se réjouit à l'idée de jouer un rôle clé dans les efforts destinés à aider les pays africains à sortir leur population de la pauvreté.
C'est en Afrique qu'on trouve la majorité des investissements et des partenariats de la MCC des dix dernières années. Au cours de la décennie écoulée, la MCC a investi près de 6 milliards de dollars en Afrique - soit plus de 60 % de son enveloppe générale.
Grâce à ces investissement, plus de 650 000 personnes ont un accès amélioré à de l'eau potable, près de 270 000 foyers ont pu acquérir les droits à leurs terres, et près de 190 000 agriculteurs ont été formés.
Mais ces chiffres ne donnent pas une vue d'ensemble. La MCC choisit ses pays partenaires parmi ceux qui font preuve d'engagement en faveur de la bonne gouvernance, des marchés ouverts et des investissements dans le bien-être de leur population. C'est ainsi que la MCC soutient les réformes et consolide les relations avec des pays qui seront nos alliés et nos partenaires commerciaux.
La MCC reconnaît que la réussite de l'Afrique bénéficie à l'Afrique comme elle bénéficie à l'Amérique. Elle est un avantage pour nos intérêts sécuritaires communs, accroît la prospérité dans nos pays et reflète notre engagement mutuel en faveur de la dignité, du bien-être et de la liberté de tous les peuples.
Aujourd'hui, la MCC lancera son tout dernier investissement et le plus audacieux à ce jour - un contrat d'aide à hauteur de 498 millions de dollars sur cinq ans pour transformer le secteur énergétique du Ghana, et ce afin d'aider le pays à fournir une source sûr, fiable et abordable d'électricité aux foyers et aux entreprises. Ceci mènera à la croissance économique, à la création d'emplois et à un Ghana en mesure de pérenniser ses progrès et sa croissance.
Le contrat d'aide est à ce jour la plus importante transaction du gouvernement des États-Unis dans le cadre de Power Africa, l'initiative du président Obama qui vise à doubler l'accès à l'électricité en Afrique subsaharienne. Je rejoindrai le président ghanéen John Dramani Mahama et le secrétaire d'État John Kerry pour la signature de cet accord historique, qui représente la nouvelle méthode de la MCC en matière d'aide au développement, à savoir offrir des mesures d'incitation pour encourager les réformes de politique générale et visant l'infrastructure, lesquelles ont un effet de levier sur les investissements du secteur privé, avec des milliards de dollars additionnels à la clé.
Le contrat d'aide se fonde sur une approche systémique pour transformer le secteur électrique du Ghana. Il investit dans des projets ciblant la distribution afin de rendre le secteur énergétique ghanéen viable sur le plan financier et capable d'attirer des investissements privés, et il finance des initiatives destinées à améliorer le rendement énergétique et à encourager le recours à l'énergie renouvelable, qui est plus propre.
En investissant des fonds publics pour créer des réformes de politique générale et visant l'infrastructure, le contrat d'aide devrait jouer un rôle de catalyseur, attirant au moins 4,6 milliards de dollars en investissements privés dans le secteur de l'énergie et des activités de la part d'entreprises américaines dans les années à venir.
Ces investissements donneront à des foyers, à des écoles et à des hôpitaux ghanéens accès à l'électricité fiable dont ils ont besoin pour prospérer. En encourageant l'entrepreneuriat et en soutenant la productivité des entreprises ghanéennes, ces investissements contribueront à stimuler la croissance économique.
La signature aujourd'hui est un avantage tant pour le peuple ghanéen que pour le peuple américain qui croit en une Afrique paisible et prospère. Le président Mahama et moi sommes fiers de signer cet investissement aux côtés du secrétaire d'État Kerry, offrant ainsi un exemple du genre de partenariat économique États-Unis-Afrique du XXIe qu'illustre le Sommet de cette semaine.
C'est en Afrique qu'on trouve la majorité des investissements et des partenariats de la MCC des dix dernières années. Au cours de la décennie écoulée, la MCC a investi près de 6 milliards de dollars en Afrique - soit plus de 60 % de son enveloppe générale.
Grâce à ces investissement, plus de 650 000 personnes ont un accès amélioré à de l'eau potable, près de 270 000 foyers ont pu acquérir les droits à leurs terres, et près de 190 000 agriculteurs ont été formés.
Mais ces chiffres ne donnent pas une vue d'ensemble. La MCC choisit ses pays partenaires parmi ceux qui font preuve d'engagement en faveur de la bonne gouvernance, des marchés ouverts et des investissements dans le bien-être de leur population. C'est ainsi que la MCC soutient les réformes et consolide les relations avec des pays qui seront nos alliés et nos partenaires commerciaux.
La MCC reconnaît que la réussite de l'Afrique bénéficie à l'Afrique comme elle bénéficie à l'Amérique. Elle est un avantage pour nos intérêts sécuritaires communs, accroît la prospérité dans nos pays et reflète notre engagement mutuel en faveur de la dignité, du bien-être et de la liberté de tous les peuples.
Aujourd'hui, la MCC lancera son tout dernier investissement et le plus audacieux à ce jour - un contrat d'aide à hauteur de 498 millions de dollars sur cinq ans pour transformer le secteur énergétique du Ghana, et ce afin d'aider le pays à fournir une source sûr, fiable et abordable d'électricité aux foyers et aux entreprises. Ceci mènera à la croissance économique, à la création d'emplois et à un Ghana en mesure de pérenniser ses progrès et sa croissance.
Le contrat d'aide est à ce jour la plus importante transaction du gouvernement des États-Unis dans le cadre de Power Africa, l'initiative du président Obama qui vise à doubler l'accès à l'électricité en Afrique subsaharienne. Je rejoindrai le président ghanéen John Dramani Mahama et le secrétaire d'État John Kerry pour la signature de cet accord historique, qui représente la nouvelle méthode de la MCC en matière d'aide au développement, à savoir offrir des mesures d'incitation pour encourager les réformes de politique générale et visant l'infrastructure, lesquelles ont un effet de levier sur les investissements du secteur privé, avec des milliards de dollars additionnels à la clé.
Le contrat d'aide se fonde sur une approche systémique pour transformer le secteur électrique du Ghana. Il investit dans des projets ciblant la distribution afin de rendre le secteur énergétique ghanéen viable sur le plan financier et capable d'attirer des investissements privés, et il finance des initiatives destinées à améliorer le rendement énergétique et à encourager le recours à l'énergie renouvelable, qui est plus propre.
En investissant des fonds publics pour créer des réformes de politique générale et visant l'infrastructure, le contrat d'aide devrait jouer un rôle de catalyseur, attirant au moins 4,6 milliards de dollars en investissements privés dans le secteur de l'énergie et des activités de la part d'entreprises américaines dans les années à venir.
Ces investissements donneront à des foyers, à des écoles et à des hôpitaux ghanéens accès à l'électricité fiable dont ils ont besoin pour prospérer. En encourageant l'entrepreneuriat et en soutenant la productivité des entreprises ghanéennes, ces investissements contribueront à stimuler la croissance économique.
La signature aujourd'hui est un avantage tant pour le peuple ghanéen que pour le peuple américain qui croit en une Afrique paisible et prospère. Le président Mahama et moi sommes fiers de signer cet investissement aux côtés du secrétaire d'État Kerry, offrant ainsi un exemple du genre de partenariat économique États-Unis-Afrique du XXIe qu'illustre le Sommet de cette semaine.
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