
Le rapport, Protéger la couche d'ozone et réduire le réchauffement climatique, présente neuf études de cas, y compris des transferts de technologie sur différents continents, et résume les résultats obtenus et les enseignements tirés sur une période de 20 années.
Les exemples présentés dans ce rapport comprennent les transferts de technologies à faible teneur en carbone et ne faisant pas appel aux substances qui appauvrissent la couche d'ozone dans les secteurs des mousses, de la réfrigération, de la climatisation, et des solvants dans des pays comme le Bangladesh, Brésil, la Chine, la Géorgie, l'Inde, la Jamaïque, le Mexique, le Swaziland et Trinidad-et-Tobago, ainsi qu'en Afrique lusophone et dans les pays à économies en transition (Belarus, Tadjikistan et Ouzbékistan). En outre, sur les 2 331 projets achevés, plus de 1 000 impliquaient des entités du secteur privé, notamment des centaines de petites et moyennes entreprises.
Le PNUD a aidé ces pays à avoir accès à des savoir-faire et à un financement du Fonds multilatéral s'élevant à de 690,6 millions de dollars aux fins de la mise en œuvre du Protocole de Montréal (pour les pays en développement) et à 42,5 millions de dollars du Fonds pour l'environnement mondial - FEM - (pour les pays à économies en transition) afin d'éliminer les produits chimiques qui appauvrissent la couche d'ozone.
" Etant donné que le PNUD appuie le plan d'élimination progressive des hydrofluorocarbones qui appauvrissent la couche d'ozone (émissions de puissants gaz à effet de serre) actuellement en cours, il continuera de mettre l'accent sur les besoins des petites et moyennes entreprises et, en tant que tel, il ne fait aucun doute que le Protocole de Montréal continuera d'être l'un des programmes phares du PNUD, " dit Nik Sekhran, Directeur du groupe sur le développement durable du PNUD.
Le rapport a été publié en marge de la 26ème Réunion des parties au Protocole de Montréal, à Paris, en France, qui s'achève le vendredi 21 novembre.
Le Protocole de Montréal est un traité international élaboré pour protéger la couche d'ozone en éliminant graduellement la production et la consommation de substances qui appauvrissent la couche d'ozone.
Bien que des difficultés subsistent, le Protocole de Montréal a été considéré comme un succès mondial, comme en témoigne l'élimination massive de la production et de la consommation de chlorofluorocarbones, de halons, de tétrachlorure de carbone, de méthyle chloroforme, de bromure de méthyle et de bromochlorométhane dans le monde depuis sa mise en œuvre en 1987.
Les exemples présentés dans ce rapport comprennent les transferts de technologies à faible teneur en carbone et ne faisant pas appel aux substances qui appauvrissent la couche d'ozone dans les secteurs des mousses, de la réfrigération, de la climatisation, et des solvants dans des pays comme le Bangladesh, Brésil, la Chine, la Géorgie, l'Inde, la Jamaïque, le Mexique, le Swaziland et Trinidad-et-Tobago, ainsi qu'en Afrique lusophone et dans les pays à économies en transition (Belarus, Tadjikistan et Ouzbékistan). En outre, sur les 2 331 projets achevés, plus de 1 000 impliquaient des entités du secteur privé, notamment des centaines de petites et moyennes entreprises.
Le PNUD a aidé ces pays à avoir accès à des savoir-faire et à un financement du Fonds multilatéral s'élevant à de 690,6 millions de dollars aux fins de la mise en œuvre du Protocole de Montréal (pour les pays en développement) et à 42,5 millions de dollars du Fonds pour l'environnement mondial - FEM - (pour les pays à économies en transition) afin d'éliminer les produits chimiques qui appauvrissent la couche d'ozone.
" Etant donné que le PNUD appuie le plan d'élimination progressive des hydrofluorocarbones qui appauvrissent la couche d'ozone (émissions de puissants gaz à effet de serre) actuellement en cours, il continuera de mettre l'accent sur les besoins des petites et moyennes entreprises et, en tant que tel, il ne fait aucun doute que le Protocole de Montréal continuera d'être l'un des programmes phares du PNUD, " dit Nik Sekhran, Directeur du groupe sur le développement durable du PNUD.
Le rapport a été publié en marge de la 26ème Réunion des parties au Protocole de Montréal, à Paris, en France, qui s'achève le vendredi 21 novembre.
Le Protocole de Montréal est un traité international élaboré pour protéger la couche d'ozone en éliminant graduellement la production et la consommation de substances qui appauvrissent la couche d'ozone.
Bien que des difficultés subsistent, le Protocole de Montréal a été considéré comme un succès mondial, comme en témoigne l'élimination massive de la production et de la consommation de chlorofluorocarbones, de halons, de tétrachlorure de carbone, de méthyle chloroforme, de bromure de méthyle et de bromochlorométhane dans le monde depuis sa mise en œuvre en 1987.