Il s’exprimait lors de l’atelier de renforcement des capacités et de vulgarisation du cadre juridique et institutionnel des partenariats Public-Privé (PPP).
Selon le directeur de cabinet du ministre de la promotion des investissements, ces 32 projets concernant la quasi-totalité des secteurs de la vie économique et sociale du Sénégal ont été présentés à l’occasion du Forum International sur le Financement des PPP qui s’est déroulé au mois de Mai 2015. Ils sont évalués à près de 6000 milliards de FCFA incluant aussi bien la part de financement public que les ressources attendues du secteur privé.
Selon El hadj Ndiogou Diouf, ces résultats laissent apparaître une augmentation sensible du portefeuille de projets susceptibles d’être développés sous la forme de PPP.
Pour lui, ces résultats nous interpellent surtout en ce qu’ils constituent une gageure pour nos administrations, qui doivent trouver les ressorts appropriées pour traduire la vision du Président de la République, Macky Sall, d’ « un Sénégal émergent en 2035, dans un Etat de droit, avec une société solidaire ».
M. Diouf affirme « qu’ en plus des défis de dimension nationale s’ajoutent des besoins aussi importants qu’urgent de réalisation d’infrastructures socio-éducatives de base pour accompagner le développement local, dans le contexte de mise en œuvre de l’Acte 3 de la Décentralisation. ».
Fatou Blondin Cissé
Selon le directeur de cabinet du ministre de la promotion des investissements, ces 32 projets concernant la quasi-totalité des secteurs de la vie économique et sociale du Sénégal ont été présentés à l’occasion du Forum International sur le Financement des PPP qui s’est déroulé au mois de Mai 2015. Ils sont évalués à près de 6000 milliards de FCFA incluant aussi bien la part de financement public que les ressources attendues du secteur privé.
Selon El hadj Ndiogou Diouf, ces résultats laissent apparaître une augmentation sensible du portefeuille de projets susceptibles d’être développés sous la forme de PPP.
Pour lui, ces résultats nous interpellent surtout en ce qu’ils constituent une gageure pour nos administrations, qui doivent trouver les ressorts appropriées pour traduire la vision du Président de la République, Macky Sall, d’ « un Sénégal émergent en 2035, dans un Etat de droit, avec une société solidaire ».
M. Diouf affirme « qu’ en plus des défis de dimension nationale s’ajoutent des besoins aussi importants qu’urgent de réalisation d’infrastructures socio-éducatives de base pour accompagner le développement local, dans le contexte de mise en œuvre de l’Acte 3 de la Décentralisation. ».
Fatou Blondin Cissé