Les intervenants de la discussion intitulée 'Mettre fin à la violence contre les femmes: prévention et action dans le monde du travail' ont exhorté les gouvernements et les institutions à prendre leur responsabilité pour mettre en place des normes et des mesures adéquates pour prévenir ces pratiques.
«La violence contre les femmes a des conséquences à long terme», a déclaré, la Directrice exécutive d'ONU Femmes, Phumzile Mlambo-Ngcuka, en expliquant que les enfants qui ont vu leurs mères et leurs sœurs battues à la maison pourraient eux-mêmes devenir des auteurs de violences ou malheureux lorsqu'ils grandiront.
Mlambo-Ngcuka a également souligné que les femmes pouvaient mourir de violence et éprouver diverses formes de souffrance, y compris des dommages physiques et émotionnels, des traumatismes, des stigmates et un accès limité au marché du travail.
Par ailleurs, les employeurs devraient également payer le prix fort de cette violence subie par les femmes sous la forme d'une perte de productivité, de frais juridiques, d'un roulement élevé du personnel, de congés de maladie et d'un préjudice à la réputation de l'entreprise.
Pour empêcher la violence à l'égard des femmes, les institutions doivent prendre la responsabilité d'aborder la question au niveau global en fixant des normes et en mettant en place des mesures préventives, a souligné la Directrice exécutive.
Directrice du Département des conditions de travail et de l'égalité de l'OIT, Manuela Tomei a déclaré lors de la table-ronde que la violence contre les femmes est une violation des droits humains, une menace pour la sécurité et la santé des femmes et une menace pour l'autonomisation des femmes.
Pathé TOURE
«La violence contre les femmes a des conséquences à long terme», a déclaré, la Directrice exécutive d'ONU Femmes, Phumzile Mlambo-Ngcuka, en expliquant que les enfants qui ont vu leurs mères et leurs sœurs battues à la maison pourraient eux-mêmes devenir des auteurs de violences ou malheureux lorsqu'ils grandiront.
Mlambo-Ngcuka a également souligné que les femmes pouvaient mourir de violence et éprouver diverses formes de souffrance, y compris des dommages physiques et émotionnels, des traumatismes, des stigmates et un accès limité au marché du travail.
Par ailleurs, les employeurs devraient également payer le prix fort de cette violence subie par les femmes sous la forme d'une perte de productivité, de frais juridiques, d'un roulement élevé du personnel, de congés de maladie et d'un préjudice à la réputation de l'entreprise.
Pour empêcher la violence à l'égard des femmes, les institutions doivent prendre la responsabilité d'aborder la question au niveau global en fixant des normes et en mettant en place des mesures préventives, a souligné la Directrice exécutive.
Directrice du Département des conditions de travail et de l'égalité de l'OIT, Manuela Tomei a déclaré lors de la table-ronde que la violence contre les femmes est une violation des droits humains, une menace pour la sécurité et la santé des femmes et une menace pour l'autonomisation des femmes.
Pathé TOURE