‘’Ces Directives volontaires ont pour but de soutenir les millions d’hommes et de femmes, en particuliers dans les pays en développement, en défendant les droits humains et en sauvegardant les ressources dont ils dépendent pour vivre’’, a notamment dit M. Guèye.
Il intervenait à Saly-Portudal (Mbour, ouest) à l’occasion d’un atelier régional de partage et de sensibilisation des membres de la Cellule jeunes de la CAOPA sur les Directives volontaires visant à assurer la durabilité de la pêche artisanale dans un contexte de sécurité alimentaire et de lutte contre la pauvreté.
La rencontre s’est tenue les 28, 29 et 30 juin, qui a été une occasion de renforcer les capacités de ces jeunes, en vue de les préparer ‘’progressivement’’ à assurer le leadership dans les organisations professionnelles, a permis au d’établir une feuille de route des jeunes en perspectives de l’Année internationale de la pêche et de l’aquaculture artisanales (IYAFA), prévue en 2022.
‘’Ces Directives volontaires sont un outil clé pour encourager la mise en œuvre des politiques nationales, de pratiques et de comportement en faveur d’une pêche artisanale durable, afin de renforcer la contribution fondamentale de ce sous-secteur à la sécurité alimentaire et à l’éradication de la pauvreté’’, a soutenu Gaoussou Guèye.
Elles sont ‘’particulièrement importantes’’ pour le développement durable de la pêche et de l’aquaculture artisanales en Afrique et requièrent que les Etats-membres du Fonds des Nations-Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et à tous leurs partenaires relèvent le défi de sa mise en œuvre, a souligné le président de la CAOPA.
‘’Aujourd’hui, 100 millions d’hommes et de femmes sont employés dans la pêche artisanale africaine qui contribue, pour 60%, à la production halieutique du secteur. La plus grande partie de ce poisson sert à nourrir les populations locales’’, a expliqué M. Guèye, selon qui, ‘’plus de 200 millions d’africains’’ dépendent du poisson comme principale source de protéines et de vitamines.
Ajoutant que la pêche artisanale constitue un filet de sécurité et de stabilité sociale, le président de la CAOPA a fait noter que les orientations et mesures contenues dans les Directives volontaires sont des outils qui, s’ils sont bien mis en œuvre, peuvent aider à améliorer les performances actuelles de ce sous-secteur et, ‘’globalement’’, du secteur des pêches dans les pays-membres.
Forte de cette conviction sur la pertinence du contenu et de l’approche de ces Directives, la CAOPA s’est engagée auprès des Etats et de la FAO pour leur diffusion et leur application selon les spécificités de chaque pays membres en Afrique.
Serigne Makhtar Fall
Il intervenait à Saly-Portudal (Mbour, ouest) à l’occasion d’un atelier régional de partage et de sensibilisation des membres de la Cellule jeunes de la CAOPA sur les Directives volontaires visant à assurer la durabilité de la pêche artisanale dans un contexte de sécurité alimentaire et de lutte contre la pauvreté.
La rencontre s’est tenue les 28, 29 et 30 juin, qui a été une occasion de renforcer les capacités de ces jeunes, en vue de les préparer ‘’progressivement’’ à assurer le leadership dans les organisations professionnelles, a permis au d’établir une feuille de route des jeunes en perspectives de l’Année internationale de la pêche et de l’aquaculture artisanales (IYAFA), prévue en 2022.
‘’Ces Directives volontaires sont un outil clé pour encourager la mise en œuvre des politiques nationales, de pratiques et de comportement en faveur d’une pêche artisanale durable, afin de renforcer la contribution fondamentale de ce sous-secteur à la sécurité alimentaire et à l’éradication de la pauvreté’’, a soutenu Gaoussou Guèye.
Elles sont ‘’particulièrement importantes’’ pour le développement durable de la pêche et de l’aquaculture artisanales en Afrique et requièrent que les Etats-membres du Fonds des Nations-Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et à tous leurs partenaires relèvent le défi de sa mise en œuvre, a souligné le président de la CAOPA.
‘’Aujourd’hui, 100 millions d’hommes et de femmes sont employés dans la pêche artisanale africaine qui contribue, pour 60%, à la production halieutique du secteur. La plus grande partie de ce poisson sert à nourrir les populations locales’’, a expliqué M. Guèye, selon qui, ‘’plus de 200 millions d’africains’’ dépendent du poisson comme principale source de protéines et de vitamines.
Ajoutant que la pêche artisanale constitue un filet de sécurité et de stabilité sociale, le président de la CAOPA a fait noter que les orientations et mesures contenues dans les Directives volontaires sont des outils qui, s’ils sont bien mis en œuvre, peuvent aider à améliorer les performances actuelles de ce sous-secteur et, ‘’globalement’’, du secteur des pêches dans les pays-membres.
Forte de cette conviction sur la pertinence du contenu et de l’approche de ces Directives, la CAOPA s’est engagée auprès des Etats et de la FAO pour leur diffusion et leur application selon les spécificités de chaque pays membres en Afrique.
Serigne Makhtar Fall