
Selon le document, la population inactive, c’est-à-dire hors du marché du travail, est estimée à 4 656 596 de personnes et celle inactive hors main d’œuvre potentielle à 3 765 923 de personnes.
Le taux de chômage BIT est de 2,9%, celui du chômage combiné au sous-emploi lié au temps de travail est estimé à 12,6%, et celui du chômage et de la main d’œuvre potentielle à 20,5%. Le taux de chômage élargi est 12,5%.
« Plus du cinquième (21,9%) des chômeurs cherchent un emploi salarié, moins du sixième (29,1%) un travail non salarié et un chômeur sur deux (49,0%) est indifférent (et désire seulement travailler), c’est à-dire preneur de tout ce qui est offert sur le marché du travail.
Au Sénégal, le secteur privé est le principal pourvoyeur d’emplois. En effet, plus de 90% des emplois au niveau de l’économie, soit 90,2%, sont créés par le secteur privé, 4,8% par le secteur public et 5,0% dans le secteur des ménages », renseigne l’Ansd.
Elle ajoute que l’indice de ségrégation sectorielle au niveau national est estimé en 2017 à 19,1 %, suggérant qu’environ un cinquième des personnes en emploi devrait changer de branche d’activité pour que l’on observe les mêmes distributions entre hommes et femmes.
Adou FAYE
Le taux de chômage BIT est de 2,9%, celui du chômage combiné au sous-emploi lié au temps de travail est estimé à 12,6%, et celui du chômage et de la main d’œuvre potentielle à 20,5%. Le taux de chômage élargi est 12,5%.
« Plus du cinquième (21,9%) des chômeurs cherchent un emploi salarié, moins du sixième (29,1%) un travail non salarié et un chômeur sur deux (49,0%) est indifférent (et désire seulement travailler), c’est à-dire preneur de tout ce qui est offert sur le marché du travail.
Au Sénégal, le secteur privé est le principal pourvoyeur d’emplois. En effet, plus de 90% des emplois au niveau de l’économie, soit 90,2%, sont créés par le secteur privé, 4,8% par le secteur public et 5,0% dans le secteur des ménages », renseigne l’Ansd.
Elle ajoute que l’indice de ségrégation sectorielle au niveau national est estimé en 2017 à 19,1 %, suggérant qu’environ un cinquième des personnes en emploi devrait changer de branche d’activité pour que l’on observe les mêmes distributions entre hommes et femmes.
Adou FAYE