
Mohamed Boun Abdallah Dionne , premier ministre du Sénégal
Selon lui, les statistiques constituent le soutien informationnel nécessaire à l'élaboration, au suivi et à l'évaluation des programmes et projets du Plan Sénégal Emergent, du cadre macro-économique, des performances du secteur productif et des conditions de vie des populations.
«Des statistiques de qualité sont également nécessaires pour la production des données nécessaires au suivi des objectifs et cibles de l’Agenda 2030 des Nations Unies et de l’Agenda 2063 de l’Union africaine», assure le PM.
Estimant au passage que, le Sénégal peut se targuer aujourd’hui d’avoir engagé, très tôt, avec le vote en 2004 de la loi portant organisation des activités statistiques et une réforme profonde de son Système statistique national. Dans la même, le Premier ministre, la nécessité de statistiques fiables sur l’emploi et le chômage, en vue prise en charge des questions relevant de ce domaine.
Selon lui, malgré les avancées significatives enregistrées dans ce domaine, le chantier de la réforme du système statistique national reste à être parachevé, notamment en ses volets coordination, architecture du système, gestion des ressources humaines, renforcement de la production statistique et amélioration de la diffusion des données dans les délais et selon des supports adaptés aux utilisateurs. Même sentiment pour le ministre de l’Economie et des Finances, Amadou Ba, qui reconnait qu’il reste encore beaucoup à faire. C’est dans ce cadre qu’une deuxième Stratégie nationale de Développement de la Statistique (SNDS 2014-2019) a été élaborée de manière participative et validée par le Comité technique des Programmes statistiques (CTPS). Cette stratégie vous sera soumise au cours de cette session, pour adoption, assure-t-il.
«Notre ambition est de promouvoir le développement de la statistique à tous les niveaux et dans tous les secteurs de l’activité gouvernementale, de manière à faciliter, partout, la prise de décision», indique Amadou Ba.
Pathé TOURE
«Des statistiques de qualité sont également nécessaires pour la production des données nécessaires au suivi des objectifs et cibles de l’Agenda 2030 des Nations Unies et de l’Agenda 2063 de l’Union africaine», assure le PM.
Estimant au passage que, le Sénégal peut se targuer aujourd’hui d’avoir engagé, très tôt, avec le vote en 2004 de la loi portant organisation des activités statistiques et une réforme profonde de son Système statistique national. Dans la même, le Premier ministre, la nécessité de statistiques fiables sur l’emploi et le chômage, en vue prise en charge des questions relevant de ce domaine.
Selon lui, malgré les avancées significatives enregistrées dans ce domaine, le chantier de la réforme du système statistique national reste à être parachevé, notamment en ses volets coordination, architecture du système, gestion des ressources humaines, renforcement de la production statistique et amélioration de la diffusion des données dans les délais et selon des supports adaptés aux utilisateurs. Même sentiment pour le ministre de l’Economie et des Finances, Amadou Ba, qui reconnait qu’il reste encore beaucoup à faire. C’est dans ce cadre qu’une deuxième Stratégie nationale de Développement de la Statistique (SNDS 2014-2019) a été élaborée de manière participative et validée par le Comité technique des Programmes statistiques (CTPS). Cette stratégie vous sera soumise au cours de cette session, pour adoption, assure-t-il.
«Notre ambition est de promouvoir le développement de la statistique à tous les niveaux et dans tous les secteurs de l’activité gouvernementale, de manière à faciliter, partout, la prise de décision», indique Amadou Ba.
Pathé TOURE