
« Nous avons des secteurs qui connaissent des difficultés et qui ne paient pas d’impôts. Ça aussi ce sont des éléments qui concourent à diminuer les recettes » a-t-il ajouté.
Amadou Ba a tenu ces explications lors de la cérémonie de signature d’accord de financements de la Banque Islamique de Développement(BID) relatifs respectivement au projet régional d’interconnexion électrique entre le Sénégal et la Mauritanie et au projet de la ligne de transport kounoune patte d’oie Mbour Kaolack.
Selon M. Ba, « il faut analyser les recouvrements sur plusieurs axes. Par rapport à la loi de finances, on peut ne pas être à l’objectif, par rapport aux recettes de l’année antérieure, c’est ce qu’on appelle glissement annuel. En glissement annuel les recettes ont cru de 7%.
« Le Sénégal a engagé une grande réforme fiscale ce qui a fait qu’on a quelques difficultés de recettes. La stratégie a été de simplifier, de réduire la fiscalité sur le capital et d’essayer d’appréhender le revenu du capital » a expliqué M. Ba.
« L’Etat a renoncé à 40 milliards de FCFA de recettes. C’est une hausse de salaires donnée aux travailleurs, du secteur privé comme du secteur public. Cette mesure a été saluée par tous » a-t-il estimé.
Ndeye Maguette Kébé
Amadou Ba a tenu ces explications lors de la cérémonie de signature d’accord de financements de la Banque Islamique de Développement(BID) relatifs respectivement au projet régional d’interconnexion électrique entre le Sénégal et la Mauritanie et au projet de la ligne de transport kounoune patte d’oie Mbour Kaolack.
Selon M. Ba, « il faut analyser les recouvrements sur plusieurs axes. Par rapport à la loi de finances, on peut ne pas être à l’objectif, par rapport aux recettes de l’année antérieure, c’est ce qu’on appelle glissement annuel. En glissement annuel les recettes ont cru de 7%.
« Le Sénégal a engagé une grande réforme fiscale ce qui a fait qu’on a quelques difficultés de recettes. La stratégie a été de simplifier, de réduire la fiscalité sur le capital et d’essayer d’appréhender le revenu du capital » a expliqué M. Ba.
« L’Etat a renoncé à 40 milliards de FCFA de recettes. C’est une hausse de salaires donnée aux travailleurs, du secteur privé comme du secteur public. Cette mesure a été saluée par tous » a-t-il estimé.
Ndeye Maguette Kébé