
« Cette différence entre les générations s’explique par l’évolution du contexte marqué par 20 ans de plans d’ajustement structurel qui ont contribué fortement à l’essoufflement des solidarités verticales « indique l’étude réalisée par le Laboratoire de Recherche sur les Transformations Economiques et Sociales (LARTES) en collaboration avec l’Unicef et le ministère du plan.
Selon cette étude, « Dans le même temps, les solidarités horizontales qui ont pris le relais n’ont pas suffisamment de ressources pour faire face à la multitude de demandes dans leur environnement immédiat. La génération la plus jeune ne bénéficie pas de filets de sécurité qui permettent d’anticiper et de gérer les effets de ces chocs ».
Cependant en dépit d’un environnement fragile et sans véritable moyens de prévention et de gestion des chocs, les jeunes générations développent des résiliences apprend la même source. Ce qui les conduit à trouver des ressources même précaires pour se remettre des chocs plus rapidement que les générations anciennes.
Ils ne sont pas inhibés par les effets irréversibles des chocs que leurs ainés qui récupèrent plus lentement des chocs et qui s’inscrivent dans des trajectoires de pauvres chroniques et finissent par la transmettre aux descendants .
Quand les situations de crise se sont multipliées et rigidifiées, les jeunes réussissent mieux à domestiquer les chocs et à développer plus de résilience.
En effet ils s’adaptent aux chocs, initient des stratégies de résistance , transforme les handicaps en ressources et à certains égards anticipent sur les effets des futurs chocs.
Ndeye Maguette Kébé
Selon cette étude, « Dans le même temps, les solidarités horizontales qui ont pris le relais n’ont pas suffisamment de ressources pour faire face à la multitude de demandes dans leur environnement immédiat. La génération la plus jeune ne bénéficie pas de filets de sécurité qui permettent d’anticiper et de gérer les effets de ces chocs ».
Cependant en dépit d’un environnement fragile et sans véritable moyens de prévention et de gestion des chocs, les jeunes générations développent des résiliences apprend la même source. Ce qui les conduit à trouver des ressources même précaires pour se remettre des chocs plus rapidement que les générations anciennes.
Ils ne sont pas inhibés par les effets irréversibles des chocs que leurs ainés qui récupèrent plus lentement des chocs et qui s’inscrivent dans des trajectoires de pauvres chroniques et finissent par la transmettre aux descendants .
Quand les situations de crise se sont multipliées et rigidifiées, les jeunes réussissent mieux à domestiquer les chocs et à développer plus de résilience.
En effet ils s’adaptent aux chocs, initient des stratégies de résistance , transforme les handicaps en ressources et à certains égards anticipent sur les effets des futurs chocs.
Ndeye Maguette Kébé